Accueil Blog Page 31

Mali: Pose de la première pierre de l’Usine de Raffinerie d’or du Mali par le général Assimi Goïta 

0

(CROISSANCE AFRIQUE)-Au Mali, le général Assimi GOÏTA, président de la transition du Mali, a posé la première pierre de l’usine de raffinerie d’or du Mali le 16 juin 2025 à Bamako. Cette usine, qui sera construite sur une superficie de 5 hectares, aura une capacité de traitement de 200 tonnes d’or par an. 

Aissi, le capital social de la raffinerie est estimé à 600 millions de FCFA, avec un taux de rentabilité interne de 173 %. L’État malien détient 62 % des parts, tandis que la société russe Yadran possède 38 %.

C’est pourquoi, le général GOÏTA a affirmé que ce projet est une réponse aux attentes des Assises nationales de la réfondation, où le peuple malien a exprimé le désir de voir l’or du pays bénéficier aux Maliens. La réalisation de cette raffinerie est perçue comme un symbole de souveraineté économique, permettant au Mali de contrôler sa production d’or et d’en tirer davantage de revenus pour le développement économique.

Aussi, la raffinerie sera la seule entité à affiner l’or de toutes les sociétés minières au Mali, créant ainsi des emplois directs et indirects pour les jeunes Maliens. GOÏTA a également souligné l’importance de la coopération avec la Russie dans le cadre de ce projet, en mettant en avant l’expertise et le transfert de compétences apportés par la société Yadran.

Le projet d’implantation d’une unité d’affinage au Mali a pour objectif de valoriser les ressources aurifères du pays. Cette initiative implique la création d’une installation moderne capable de traiter jusqu’à 200 tonnes d’or par an, en séparant l’or et l’argent en produits raffinés.

Points clés :

Partenariat international : Il s’agit de l’un des premiers grands projets industriels en Afrique subsaharienne en collaboration avec la Fédération de Russie, renforçant les liens entre les peuples russe et malien.

Impact économique : Le projet est prévu pour générer des emplois, construire des infrastructures conformes aux normes internationales, et permettre un contrôle étatique sur la chaîne d’exploitation minière.

Transformation et valeur ajoutée :Il vise à créer de la valeur ajoutée par la transformation des ressources en or sur le sol malien, ainsi qu’à établir un centre national de compétences dédié au traitement des métaux précieux.

Notons que ce projet pourrait ainsi significativement contribuer au développement économique et industriel du Mali en permettant une meilleure gestion de ses ressources naturelles.

Daouda Bakary KONÉ 

Mali: les défis et perspectives de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique présentés président Goïta à Bamako

0

(CROISSANCE AFRIQUE)-Au Mali, le Président de la Transition, le Général d’Armée Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a accordé une audience, le vendredi 13 juin 2025, au Palais de Koulouba, aux Ministres en charge de l’Enseignement supérieur des pays membres de la Confédération des États du Sahel (AES). Au cours de cette audience, les ministres de tutelle ont présenté les défis et perspectives de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique au président Goïta à Bamako .

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des travaux ministériels tenus à Bamako sur les défis et perspectives de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique dans l’espace confédéral. La délégation était conduite par le Professeur Bouréma KANSAYE, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique de la République du Mali.

Au sortir de l’audience, le Professeur Saïdou MAMADOU, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation technologique de la République du Niger, a souligné que la rencontre de Bamako a permis de dresser un état des lieux des problématiques majeures du secteur. « Il s’est agi pour nous d’évaluer les défis communs en matière d’enseignement supérieur et de recherche, d’explorer des perspectives d’évolution et de poser les bases d’un cadre de concertation efficace entre nos États membres », a-t-il déclaré.

Prenant la parole au nom de ses pairs, M. Adjima THIOMBIANO, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation du Burkina Faso, a exprimé sa reconnaissance au Président de la Transition pour l’attention portée à cette initiative stratégique. Il a rappelé que le thème central de la conférence de Bamako porte sur « La contribution de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique au développement stratégique de la Confédération des États du Sahel ».

« Nous œuvrons actuellement à la mise en place de projets communs visant l’harmonisation des pratiques académiques et la création de pôles d’excellence à l’échelle confédérale », a-t-il précisé, soulignant la volonté partagée de faire de l’enseignement supérieur un levier du développement intégré de l’AES.

Bulgarie: Pourquoi une grandes manifestations contre l’euro

0

SOFIA, Bulgarie — Le dimanche 8 juin 2025, des manifestants se sont rassemblés devant la Banque nationale bulgare, entourés d’un important dispositif policier, pour protester contre l’introduction prévue de l’euro le 1er janvier 2026.

La manifestation était une fois de plus organisée par le parti politique “Vazrazdane”, tandis que d’autres manifestations ont eu lieu dans d’autres villes bulgares. Le président de “Vazrazdane“, Konstantin Kostadinov, a adressé une lettre à tous les Premiers ministres de l’Union européenne appelant à l’exclusion de la Bulgarie de la zone euro.

Konstantin Kostadinov a souligné dans ses declarations: “Notre lutte se fait au nom de la démocratie, de nos droits et de notre droit le plus important, le droit de vote”.

Kostadinov a également rappelé qu’en Italie, il n’y a pas eu un, mais cinq référendums sur l’euro, avec une demande signée par moins de 1 % des citoyens, tandis qu’en Bulgarie, avec 10 % des personnes disposées à le faire, un référendum n’est pas autorisé.

Les participants à la manifestation ont affirmé catégoriquement leur volonté de conserver le lev bulgare comme monnaie nationale et ont réclamé haut et fort un référendum sur cette question cruciale et d’importance à long terme pour le pays.

“Nous voulons conserver le lev bulgare car c’est notre monnaie nationale. Sans lev, il n’y aura plus de Bulgarie”, ont insisté les manifestants.Les milliers de manifestants ont exprimé  en particulier leur inquiétude quant au risque que le passage à l’euro entraîne une hausse des prix, une dégradation du niveau de vie, une perte de souveraineté économique et financière du pays et une dépendance vis-à-vis des puissances extérieures.

Isidoros Karderinis est journaliste, correspondant de presse étrangère et écrivain. Facebook: Karderinis Isidoros

Banques: l’agence de notation Fitch déclasse Oragroup à un statut de quasi-défaut de paiement de ses emprunt en monnaie locale FCFA

0

(CROISSANCE AFRIQUE)-L’agence de notation Fitch a récemment déclassé Oragroup, la maison mère de la banque Orabank, à un statut de quasi-défaut de paiement (note « RD » – Restricted Default) concernant ses emprunts en monnaie locale (FCFA).

Cette décision témoigne de graves tensions de trésorerie au sein de la société, exacerbées par l’échec de l’opération de rachat par Vista Bank, ce qui a révélé des vulnérabilités structurelles importantes.

Ce déclassement résulte d’un échange de dette en difficulté sur un prêt à court terme dont l’échéance, initialement prévue le 28 mai, a été prolongée pour éviter un défaut total.

Fitch a noté que cette situation représente une réduction significative des conditions pour les créanciers, illustrant un environnement de plus en plus incertain quant à la liquidité et à la solvabilité d’Oragroup.

Dans ce contexte, Fitch a maintenu la note de viabilité de l’entité à « f », le niveau le plus bas, indiquant des difficultés potentielles à respecter les exigences réglementaires sans apport en capital supplémentaire.

Mariam KONÉ

Nigéria: 1913 milliards de FCFA d’excédent enregistrés en deux ans, selon les données officielles

0

(CROISSANCE AFRIQUE)-Au premier trimestre de 2025, le Nigeria a enregistré un excédent commercial impressionnant de 1 913 milliards de FCFA, marquant son plus haut niveau en près de deux ans.

Cette augmentation s’explique par une baisse significative des importations, couplée à une forte croissance des exportations non pétrolières, témoignant d’une progression vers une diversification économique.

Voici les points clés de ce rapport :

  • Performance du commerce extérieur : Le commerce extérieur a atteint 13 327 milliards FCFA, en hausse de 6,2 % par rapport à l’année précédente. Les exportations ont totalisé 7 622 milliards FCFA, tandis que les importations ont chuté à 5 698 milliards FCFA (une baisse de 7 %).

  • Pétrole et diversification : Bien que le pétrole brut reste la principale source de revenus (représentant plus de 62 % des exportations totales), son apport a diminué par rapport au trimestre précédent, ce qui a été compensé par une augmentation des exportations de produits non pétroliers, notamment agricoles.
  • Secteur agricole : Les exportations de produits agricoles ont connu une forte hausse de près de 65 % avec des exportations s’élevant à 629 milliards FCFA. Les produits comme le cacao, les noix de cajou et les graines de sésame ont particulièrement contribué à cet essor.
  • Produits en croissance : En plus des produits agricoles, des produits comme l’urée et le gaz naturel liquéfié ont vu leur valeur à l’exportation augmenter, soutenus par les efforts du gouvernement pour diversifier l’économie.
  • Marchés d’exportation : Les principaux partenaires commerciaux incluent l’Inde, les Pays-Bas, les États-Unis, la France et l’Espagne, avec l’Inde en tête, ayant importé pour 1 051 milliards FCFA de marchandises nigérianes.
  • Importations : En revanche, les importations en provenance de la Chine restent prédominantes, représentant près d’un tiers des importations totales du Nigeria.

Cette situation encourageante témoigne des efforts croissants du Nigeria pour élargir sa base économique et réduire sa dépendance vis-à-vis du secteur pétrolier.

Korotoumou Sylla

Ghana: la Croissance Économique grimpe de 5,3% au premier trimestre 2025

0
Money graph stock market finance growth chart

(CROISSANCE AFRIQUE)- Au Ghana, l’économie affiche une résilience remarquable avec une croissance de 5,3 % du produit intérieur brut (PIB) au premier trimestre 2025, surpassant les 4,9 % de la même période l’année précédente.

Cette performance est considérée comme un signe fort de redressement économique face à un environnement mondial complexe, selon l’Office national de la statistique et les déclarations d’Alhassan Iddrisu, statisticien du gouvernement.

Secteurs de croissance

  • Secteur des services : Représente près de la moitié du PIB (46,8 %) avec une progression annuelle de 5,9 %.
  • Technologies de l’information et de la communication : +13,1 %.
  • Services financiers et d’assurance : +9,3 %.
  • Transport et entreposage : +8,6 %.
  • Secteur agricole : Contribue à 23,5 % du PIB avec une croissance de 6,6 %.
  • Pêche : +16,4 %.
  • Cultures : +6,7 %.
  • Cacao (produit d’exportation clé) : +3,4 %.
  • Élevage : +5,6 %.
  • Secteur industriel : Représente 29,7 % du PIB avec une croissance modeste de 3,4 %. Les performances varient :
  • Manufacture : +6,6 %.
  • Activités minières : +1,4 % (stagnation).
  • Pétrole et gaz : -22,1 % (recul dû à une baisse de la production).

Performance économique globale

  • Croissance trimestrielle : +1,4 % par rapport au trimestre précédent, avec des contributions principales de l’agriculture (+1,7 %) et des services (+1,5 %), tandis que l’industrie a connu une augmentation de 0,9 %.
  • Secteurs en difficulté : L’administration publique, la défense, l’éducation et la foresterie ont enregistré des baisses, avec le secteur public en recul de 4,2 % par rapport à l’année précédente.

Demande et investissements

  • Consommation : Forte hausse avec une augmentation des dépenses de consommation publique (+8,2 %) et des ménages (+4,0 %).
  • Investissement : La formation brute de capital a montré une croissance timide de +1,1 %.

Notons que malgré certains défis sectoriels, notamment dans le secteur industriel et public, la croissance du Ghana est soutenue par une forte demande de consommation et des secteurs de services et agricoles dynamiques.

Moussa KONÉ

Télécoms: Orange Côte d’Ivoire reste le leader du marché et dévoile un chiffre en hausse de +15,3% à 24,277 milliards FCFA au 31 mars 2025

0

Au 31 mars 2025, Orange Côte d’Ivoire se positionne comme le leader du marché des télécommunications en Côte d’Ivoire. Voici un résumé des points clés relatifs à la situation :

Internet fixe

  • Total d’abonnés : 528 488.
  • Abonnés d’Orange CI : 431 185, soit 81,6 % du marché, en hausse de 12,3 % par rapport à 2024.
  • Autres opérateurs :
  • GVA : 50 638 abonnés, +64,8 %.
  • Moov : 43 199 abonnés, +155,5 %.
  • Konnect Africa : 1 900 abonnés, +149 %.
  • MTN : Baisse de 15,3 %.
  • Vipnet : Baisse de 45,2 %.
  • Dataconnect : 319 nouveaux abonnés, +25 %.

Internet mobile

  • Total d’abonnés : 35,504 millions, +18,4 %.
  • Abonnés d’Orange CI : 14,007 millions, +14,7 %.
  • MTN : 12,386 millions, +7 %.
  • Moov : 9,111 millions, +46,7 %.

Machine to Machine (M2M)

  • Total d’abonnés : 98 756, -2,4 %.
  • MTN : 54 285 abonnés, -4,7 %.
  • Orange CI : 43 991 abonnés, légèrement en baisse.
  • Moov : 480 abonnés, +70,2 %.

Chiffre d’affaires

  • Internet fixe : Total de 24,277 milliards FCFA, +15,3 %.
  • Orange CI : 18,306 milliards FCFA, +13,8 %.
  • GVA : 2,152 milliards FCFA, +50,6 %.
  • Moov : 1,086 milliard FCFA, +99,4 %.
  • MTN : 1,074 milliard FCFA, -8,4 %.

Connexion mobile

  • Chiffre d’affaires total : 125,483 milliards FCFA, +9,2 % sur le premier trimestre 2025.

Cette analyse met en évidence l’importance d’Orange Côte d’Ivoire sur le marché, tant en termes d’abonnés que de revenus, tout en soulignant les performances croissantes de certains de ses concurrents.

Vivo Energy Côte d’Ivoire: une hausse de 3% du résultat net au 1er trimestre 2025

0

Vivo Energy Côte d’Ivoire a enregistré une hausse de 3% de son résultat net au premier trimestre 2025, s’élevant à 1,323 milliard FCFA contre 1,288 milliard FCFA l’année précédente.

Cette augmentation est soutenue par une croissance de 6% du chiffre d’affaires, atteignant 155,87 milliards FCFA, principalement due à une augmentation de volumes de 5% entre 2024 et 2025.

Notons que le résultat d’exploitation a progressé de 2%, atteignant 3,08 milliards FCFA, grâce à une gestion maîtrisée des charges d’exploitation. Le résultat des activités ordinaires a également montré une légère augmentation, s’élevant à 2,22 milliards FCFA.

Mobil Money: Orange Money Mali et Orabank Mali lancent la carte prépayée Mastercard

0
Mastercard a annoncé mercredi un bond de 38% de son bénéfice trimestriel à la faveur d'une hausse des dépenses des consommateurs avec ses cartes de crédit et de débit. /Photo d'archives/REUTERS/Jonathan Bainbridge

(CROISSANCE AFRIQUE)A Bamako, Orange Money Mali et Orabank Mali ont franchi une étape déterminante dans l’innovation financière avec le lancement officiel de leur carte prépayée Mastercard, le 5 Juin 2025. Ce nouvel instrument de paiement offre aux utilisateurs une solution moderne, sécurisée et accessible, facilitant ainsi les transactions tant sur le plan national qu’international.

Grâce à leur partenariat stratégique, les abonnés d’Orange Money Mali peuvent désormais obtenir une carte de débit, qu’elle soit virtuelle ou physique, directement liée à leur portefeuille Orange Money via l’application Max it. Cette carte permet de réaliser des paiements chez les commerçants, sur des sites web et via des applications mobiles acceptant Mastercard. Les utilisateurs peuvent demander leur carte dès cette semaine via l’application Orange Money, avant de la récupérer dans un point de vente agréé.

Cette carte prépayée offre une flexibilité totale : les clients peuvent gérer leurs finances sans nécessiter de compte bancaire traditionnel. Elle est conçue pour les transactions quotidiennes, avec un plafond de 2 millions de F CFA par opération, pour un montant cumulé limité à 10 millions de F CFA par mois. Pour Bintou Diop, directrice générale d’Orange Finance, ce lancement représente une avancée capitale dans la démocratisation des services financiers mobiles. « Trop longtemps, une partie de notre population est restée en marge des avantages du commerce en ligne, des paiements sécurisés et de la liberté financière associés aux cartes bancaires. Aujourd’hui, nous ne lançons pas seulement une carte, nous ouvrons la porte à un monde de possibilités en offrant à nos clients un accès à l’univers Mastercard », affirme-t-elle. Avec un faible taux de bancarisation en Afrique subsaharienne, cette nouvelle initiative vise à renforcer l’autonomie financière des populations et à élargir leur accès aux services bancaires modernes.

Orabank Mali partage cet engagement. Selon Tiguida Guindo, directrice de la banque, « ce projet dépasse le cadre d’un simple produit financier. Cette carte prépayée incarne notre ambition collective de démocratiser les services financiers, d’améliorer l’inclusion et de répondre aux besoins d’une population en pleine transformation numérique. Grâce à cette carte, nos clients pourront réaliser des paiements sécurisés, acheter en ligne, retirer de l’argent et gérer leurs dépenses de manière autonome ».

Présent lors du lancement, Mohamed Ag Albachar, chef de Cabinet représentant le ministre de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’administration, a salué cette initiative, qu’il considère comme audacieuse et inclusive. « Cette carte Mastercard, adossée au portefeuille électronique Orange Money, représente bien plus qu’un outil de paiement. Elle est un puissant levier pour la bancarisation, l’inclusion financière et l’autonomisation numérique », rappelle M. Albachar.

Notons que ce partenariat entre Orange Money Mali et Orabank Mali promet de révolutionner l’accès aux services financiers pour des milliers de personnes et de favoriser leur participation à l’économie numérique. En facilitant les transactions tant nationales qu’internationales, cette carte prépayée constitue une avancée significative vers la digitalisation des paiements au Mali.

Abdoulaye KONE

Mali: l’APDP menace la saisine de 100 entreprises pour non conformité -(liste)

0

L’APDP MET EN DEMEURE 100 STRUCTURES POUR NON CONFORMITÉ AUX DISPOSITIONS DE LA LOI N°2013-015 PORTANT PROTECTION DES DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL

Lors de sa première session extraordinaire, tenue en mars 2025, l’APDP a prononcé des sanctions de mise en demeure à l’encontre des structures pour défaut de formalités déclaratives auprès d’elle.
Les structures dont les noms suivent sont tenues de se mettre en conformité dans le délai indiqué, sous peine de sanctions pécuniaires allant de 5 000 000 FCFA à 20 000 000, sans préjudice de la saisine du Pôle national de Lutte contre la cybercriminalité pour l’application de sanctions pénales.

SECTEUR DE L’ENSEIGNEMENT

Centre Privé d’Enseignement Supérieur de Kalaban-Coro (CPESK)
Ecole Supérieure de Commerce du Mali (ESC-MALI)
Institut des Hautes Études en Management (IHEM)
Ecole Universitaire de Technologie et de Gestion (EUTG)

HÔTELS ET RESTAURANTS

Almounia II
Hôtel Grand Micasa
Hôtel Faso
Île Djataland
Hôtel Olympe International
Hôtel Le Loft
Hôtel Komoguel
Restaurant Le Sous-Bois
Restaurant Rayan
Restaurant Indigo
Aquarium Resto
Le Rooftop Bamako
Restaurant Ikana
Hôtel Massaley
Hôtel Mandé

SECTEUR DES SUPERMARCHÉS ET DIVERS

Super Marché City Market COT
Supérette La Corniche
Marché Ecomarket Store
Supermarché Ar-Rahma
Maxi Bazar
Mille et Une Merveilles

SECTEUR DE LA SANTÉ

Cabinet Dentaire Blanco Dent
Optique Médical Espace Vision

SECTEUR DES ONG

ONG Gardl

SECTEUR DES HYDROCARBURES

Petroma SA
Société Hydro Mali Pétroleum (HMP)

SECTEUR DES ÉTABLISSEMENTS FINANCIERS ET ASSURANCES

Alios Finance Mali

SECTEUR DE LA COMMUNICATION ET DE L’IMPRIMERIE

Business Technology Média Events-SARL
Binthily Communication
Imprimerie Nouvelle
Imprimerie ARCPS Sarl
Bittar Impression
Journal Mali Tribune