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Urgent : le grand marché de Bamako a pris feu

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Il est 00h02 minutes, les premières images du grand marché de Bamako tombent sur les réseaux sociaux . Le marché est sous le feu depuis un certain moment. Informez les commerçants de la zone. Selon une source concordante, les #sapeurs pompiers sont sur place déjà. Prions avec eux. Notre nous précise que la localité est non loin du Victoria. Pour le moment restent à déterminer.

Il faut le rappeler,que c’est la troisième fois consécutives que le grand marché de Bamako soit victime des incendies de telle façon. Et aucun des résultats des enquêtes ne sont jusqu’à là disponible. Vivement la réaction des autorités compétentes dès les heures qui suivront.

Daouda Bakary KONE
Source : croissanceafrique.com

Coopération Mali-Allemagne : une vingtaine de véhicules pour les FAMa

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L’Allemagne a offert une vingtaine de véhicules aux FAMa. La cérémonie de réception a eu lieu, le jeudi 21 juin 2018, sur la place d’Armes du camp Soundiata de Kati. Cette assistance allemande participe de la coopération bilatérale. Elle s’inscrit dans le cadre de l’Aide à l’Equipement pour le programme d’arrangement 2017-2020.
La donation allemande aux FAMa comporte 25 camions Mercedes et 3 chariots élévateurs et des pièces de rechange. Le coût total est estimé à 1 milliard de franc CFA.

Source : Défense Malienne

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Sikasso : Lancement du salon du financement de l’agriculture

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Le ministre du Développement Local, Soumana Mory COULIBALY a entrepris ce jeudi une visite de 72 heures dans les régions de Sikasso et Ségou. Sikasso est la première étape de cette tournée.

D’ailleurs c’est dans la citée du Kenedougou que le ministre Soumana Mory COULIBALY a présidé le lancement officiel du SINAGRI, le Salon du Financement de l’Agriculture.

Cet événement qui est à sa 5ème édition, porte sur le thème : Financement de la résilience climatique, défis et opportunités.

L’objectif est de faciliter l’accès aux entrepreneurs du secteur agricole aux sources de financement d’une part, et d’autre part, permettre aux banques de mieux se familiariser à l’environnement de l’entreprenariat paysan.

Au menu,il est prévu des conférences thématiques, des espaces d’expositions, et des rencontres B2B (Business-to-Business). Par ailleurs, le ministre Soumana Mory COULIBALY se rendra en début d’après midi dans la localité de Kléla.

Il faut rappeler que dépuis son arrivée et la création du département du développement local, Soumana Mory COULIBALY a entrepris plusieurs projets qui verront le jour dans le futur. Dors et déjà, il est réputé comme un ministre qui répond aux aspirations des populations locales.

Daouda Bakary KONE en collaboration avec le CCOM/MDL

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Communiqué de l’Institut National de Prévoyance Sociale (INPS)

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Le Directeur Général de l’INPS invite les retraités n’ayant pas encore perçu leur pension de bien vouloir se présenter dans les structures de l’INPS de leur lieu de résidence au plus tard le 30 juin 2018.
Le Directeur Général de l’INPS sait compter sur la bonne compréhension de tous.
Bamako le 17 juin 2018
Directeur général Adjoint
Signé Siaka Seydou Diarra

Les défis de l’urbanisation en Afrique de l’Ouest : Bamako doit moderniser les structures, réaménager et investir selon la Banque Mondiale

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Ce mercredi 20 Juin 2018 la directrice pays banque mondiale Soukeyna KANE a animé une vidéoconférence avec les pays de sa juridiction. L’objectif est de présenter le rapport de l’administration breton Wood concernant les défis de l’urbanisation en Afrique de l’ouest. Il s’agit de la situation de trois pays à savoir le Mali, la Guinée Conakry et le Niger. Cette conférence a été retransmis en direct depuis Washington DC à travers les pays comme: le Tchad, le Mali, le Niger et la Guinée Conakry, elle a regroupé une brochette de journalistes émanant de chaque pays concernés.

Selon la directrice des opérations de la banque mondiale pour le Mali, Niger, Tchad et la Guinée Conakry, « la ville de Bamako a une urbanisation plus fragmentée et c’est le contraire en Guinée Conakry  » dixit. Pour elle, « des pays comme le Mali, le Niger, le Tchad et la Guinée Conakry ne parviennent à tirer profit sur le plan urbain »‘dit elle.

Avant de clore sa première prise de parole, M. Soukeyna KANE afgirmera « qu’il faut une meilleure coordination des investissements pour relever les défis de la bonne condition d’urbanisation dans ces pays. Selon elle, la Banque mondiale attends des taux de croissance dans les années à venir dans ces trois pays », à telle affirmé.

Pour sa part M. Meskerem Brhane responsable des programmes d’urbanisation de la Banque mondiale dans ces pays et co-auteur du dit rapport a dit que « le continent Africain fait 470 millions d’habitants en 2018 et qu’en 2050 le continent atteindra 659 millions d’habitants dont la ville de Bamako pourra atteindre 13 millions d’habitants  » ‘ explique t-elle. Selon elle, dans ces trois villes la croissance démographique augmente alors que la croissance économique ne suivre pas et pourtant la ville de Bamako représente 34 % du produit intérieur brut national » à t-elle ajouté M. Brhane.

Faiblesse en la gestion :

Nous pouvons cités, un manque de clarté dans les droits des coûts élèvés , des allocations de terres peu efficaces, des procédures complexes pour les logements, des emtraves aux investissements, et le développement économique des conséquences sur les moyens de subsistance et la paix sociale. À cela, il faut noter le renforcement des institutions locales pour améliorer la planification.

C’est pourquoi le rapport de la banque mondiale conclura « qu’il faut une fenêtre d’opportunité sur secteur . Le rapport exhorte qu’il faut également coordonner, investir, réformer lesinfrastructures et institutions. En suite la banque mondiale à travers cet rapport propose aux trois pays des solutions que sont: pour la ville de Bamako,, elle doit moderniser les structures, réaménager et investir, pour sa part la ville de Conakry doit procéder et continuer la connectivité en priorité à travers les capitales régionales du pays,et qu’il faudra pour la ville de Niamey de poser les bases du développement urbain. Et grâce ces innovation proposées , les trois villes peuvent devenir des localités productives ,viable et vivable selon le rapport de l’administration breton Wod.

Daouda Bakary KONE, journaliste économique, fondateur et directeur de la publication du magazine d’information économique croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Urgent: Le clash de Dramane Dembélé envers Soumaila Cissé et les mensonges de trop concernant les milliards de franc CFA annoncés par les différents candidats opposés au président sortant

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Le candidat Dramane Dembélé estime que « les 9 000 milliards de FCFA sur 5 ans qu’ils prêtent au programme de Soumi ne sont pas ambitieux. Le budget classique de l’État oscille sur 2 000 milliards/an soit une somme de 10 000 milliards sur 5 ans. Dans mon offre je vais générer des ressources additionnelles de 3 000 milliards qui seront tirées de l’exploitation de nos ressources inférées en or par un modèle de vente à terme contrôlé par l’État après un due-diligence en réserves sûres consolidées d’au moins 04 prospects avancés. Cette manne financière sera dédiée exclusivement aux infrastructures et aux secteurs de transformations. Aujourd’hui, nous sommes à plus de 1000 tonnes d’or produites misent en relation avec notre niveau de précarités : énergétique, sanitaire et alimentaire sont inacceptables. Les lignes doivent bouger et elles vont bouger. Voilà entre autres le sens de mon engagement. À l’horizon 2028, le Mali ne sera plus un pays endetté et amorcera son émergence en 2030 ‘’

Proposition pour résoudre les crises sociales.

Aujourd’hui, la masse salariale oscille autour de 450 milliards, les 35 % des 180 milliards de recettes fiscales (source MEF) nous donnent autour de 630 milliards donc possibilité d’améliorer le traitement des travailleurs avec les 180 milliards. Ce compromis dynamique protègera et sécurisera la population des grèves au niveau de la santé, de l’éducation, des magistrats ».

Daouda Bakary KONE
Mail: croissanceafrik@gmail.com

Présidentielle 2018: Des grosses sommes prononcées par les candidats Soumaila Cissé et Aliou Boubacar Diallo, que bluffeurs en gestation devant le peuple.

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Campagne electorale 2018 au Mali.

A propos des 9.000 milliards promis par Soumaila Cisse et des 15.000 milliards promis par Aliou Boubacar Diallo, voici l’avis d’un celebre economiste malien recu in box:

«Le budget actuel du Mali est déjà de 2200 milliards environs alors au bout de 5 ans cela fait 11 000 sans compter les 1000 milliards dus aux 10% d’augmentation annuelle

Alors quelqu’un qui dit travailler, dit générer 5000 ou 9000 milliards. dit en fait qu’il fera moins que les cinq dernières années, quant à celui qui dit faire 15000 milliards dit qu’il fera seulement autant que les cinq dernières années puisqu’avec une progression annuelle de 10% le budget actuel de 2200 milliards fera un total d’environ 15000 milliards en 5 ans

alors les chiffres paraissent gros, mais en fait ils ne vous promettent rien du tout puisque cet argent est l’équivalent du budget annuel multiplié par 5 ans. Et tout le monde tombe dans le panneau.

A moins qu’il ne soit précisé comme je l’ai dit qu’il s’agit d’investissements supplémentaires au budget tel que connu».

Source : propos d’un économiste anonyme.

Mail:croissanceafrik@gmail.com

MALI: DISCOURS DU REPRESENTANT DU MINISTRE DE LA SOLIDARITE ET DE L’ACTION HUMANITAIRE, AHMADOU DIALLO, A L’OCCASION DE L’OUVERTURE DU SEMINAIRE DE RESTITUTION DE L’ETUDE ACTUARIELLE DES REGIMES DE L’INSTITUT NATIONAL DE PREVOYANCE SOCIALE.

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Bamako LE 19 juin 2018.

-Mesdames, Messieurs les Administrateurs de L’INPS,
-Mesdames, Messieurs les représentants des départements ministériels,
– Mesdames, Messieurs les partenaires sociaux ;
– Mesdames, Messieurs les consultants,
-Mesdames, Messieurs les représentants de la Direction Générales de L’INPS,
– Mesdames, Messieurs de la presse publique et privée,
-Cher participants,
– Mesdames, Messieurs

Je voudrais, avant tout propos, au nom de Monsieur de la Solidarité et de l’Action Humanitaire souhaiter la chaleureuse bienvenue à tous les participants à ce séminaire sur la restitution du rapport de l’étude actuarielles des branches de protection sociale gérés par L’INPS.
Je remercie tout particulièrement le BIT à travers les consultants actuaires, financiers, tacticiens et démographes, ainsi que l’ensemble des parties prenantes à la production de ce rapport dont le contenu nous sera restitué dans les instants qui suivent.

Mesdames, Messieurs
L’institut National de Prévoyance Social du Mali (INPS), a sollicité en 2016 la coopération du bureau International du Travail (BIT) pour réaliser l’étude actuarielle de ses différentes branches de protection social.

Le choix d’un tel partenaire doté d’une expertise avérée a été motivé par le souci d’obtenir une évaluation sans complaisance de la santé financière de ces branches.
En effet, le besoin de menée une étude actuarielle s’est fait sentir depuis 2004, lorsque les résultats techniques de la branche vieillesse invalidité décès ont montré des signes inquiétants de déséquilibre marqués par un déficit grandissant d’année en année, ce, en dépit des multiples efforts de maitrise des charges de toute nature.

Le financement du déficit ainsi constaté a été régulièrement assuré par les excédents des branches des prestations familiales et des accidents du travail largement excédentaire.
Aussi, l’adoption de la loi sur l’Assurance Maladie Obligatoire, par ailleurs salutaire, a fortement impacté les finances de l’INPS car, les ressources initialement dédiées à la branche de la protection contre la maladie ont été entièrement transférées à l’AMO tandis que les charges liées à cette activité sont demeurées pour L’INPS.

À titre d’illustration, le manque à gagner était estimé en 2010 à plus de 10 milliards de FCFA.

Mesdames, Messieurs
La question du déficit structurel de la branche retraite de L’INPS a été une préoccupation constante de plus hautes autorités.
A travers une analyse de la situation, les services techniques de l’Institut sont eux –une mêmes parvenus à un premier diagnostic de la question.
Dès lors, il apparaît clairement que le déséquilibre structurel de régime est consécutif à la forte augmentation du nombre des nouveaux pensionnés, au niveau de plus en plus élevé des rémunérations servant au calcul des droits ; au fiable taux de couverture des populations assujetties réduisant la base des cotisants.
Toutefois, ces constats bien que pertinents devraient être validés par une étude actuarielle de qualité dont les conclusions aboutiraient à des prises de décisions majeures sur la pérennisation de notre système de prévoyance sociale.
Dans ce sens, une première étude actuarielle a été menée en 2005, ses conclusions ont abouti à des pistes de solutions et à l’élaboration des projets de textes de reformes paramétriques tendant à rétablir l’équilibre de la branche retraite.
Ce processus a été interrompu en 2016, car n’ayant pas obtenu l’aval des partenaires sociaux jadis peu convaincu de la pertinence des solutions préconisées par cette étude.

Mesdames, Messieurs
Plus de dix ans après, l question de l’équilibre des régimes et leur actuarielle.
L’objectif recherché est de fournir aux plus Hautes Autorités du pays et aux dirigeants de l’Institut National de Prévoyance Sociale, les éléments pertinents d’appréciation de la viabilité et de la solvabilité financière à moyen et long terme des régimes de prévoyance Sociale des travailleurs salariés et de l’assurance volontaire.
En outre, elle doit permettre d’avoir une vision synoptique des difficultés rencontrées par l’Institut et de prendre des mesures conséquentes pour son avenir.
Il s’agit donc d’analyser le fonctionnement des régimes obligatoires et volontaire au plan financier et actuariel ; de formuler des propositions permettant de garantir l’équilibre financier sur les moyen et long termes ; de proposer les modalités pour la couverture sociale d’une plus grande couche de la population.

Mesdames et messieurs,
Par cet exercice participatif, vous partagerez les conclusions de cette étude en termes de bonne compréhension des difficultés auxquelles les régimes gérés par l’INPS sont présentement confrontés, mais également les nouveaux défis à venir.
Le vieillissement prévisible de la population du Mali, sous l’effet combiné de l’augmentation de l’espérance de vie et de la diminution du taux de fécondité, viendra accentuer fortement les déséquilibres déjà présents. Les problèmes actuels et futurs ont été identifiés, analysés et des solutions furent proposés.
La liste des recommandations comprend plusieurs types des mesures : des gestes de nature administrative, des ajustements aux taux de cotisation, des modifications aux prestations offertes, etc.
Quelques soient les ajustements qui seront apportés suite à la présente étude, il sera essentiel de mettre en place un suivi adéquat de la santé financière des régimes.
Les projections actuarielles sont par définition imparfaites, et il est de la plus haute importance de suivre les résultats de façon régulière et de la comparer à ce qui avait été prévu. C’est ainsi l’on améliore la gestion et le contrôle d’un système de protection sociale à l’effet d’en assurer leur survie.

Mesdames et messieurs,
Je vous invite donc à attacher la plus haute importance aux exposés en vue de sortir de ce séminaire fortement imprégnés des recommandations et des outils essentiels de prise de décisions courageuses en vue de pérenniser notre système de protection sociale permettant ainsi d’améliorer significativement la qualité des prestation services et par ricochet la gestion efficace de l’INPS.
C’est sur ces mots pleins d’espérance que je déclare ouvert le séminaire de restitution de l’Étude actuarielle des régimes de l’INPS.

Je vous remercie de votre aimable attention !

URD-Tiébilé Dramé désigné directeur de campagne , Soumi entre confiance et méfiance !

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Le président du PARENA abandonnant son propre parti a décidé de virer chez le président de l’Union pour la République et la Démocratie (URD) Soumaila Cissé dit  » Soumi « . Et cela, suite à sa décision unilatérale qu’il a prise au cours de leur congrès dernier tenu les 26 et 27 mai dernier au palais de la culture de Bamako de soutenir la candidature du chef de file de l’Opposition malienne. Du coup, il a bénéficié le poste de directeur de campagne de S.C au détriment des dirigeants du parti de la poignée des mains.

Le parti de Tiébilé Dramé est-il mort? ou Soumaila Cissé gagnera -t-il la confiance auprès de ses collaborateurs ? Encore moins, va-t-il récolter le mauvais sort de la méfiance ?

Cependant, on ne le saurait confirmer par méchanceté mais ce qui est évident des hommes politiques de l’Union pour la République et la Démocratie viseraient leur traditionnel candidat dans un miroir noir pour avoir attribué le poste de directeur de campagne à celui-ci (T. D). Ce qui est très inquiétant aujourd’hui pour l’ancien ministre d’Alpha Oumar Konaré, des Finances, puis des Finances et du Commerce, aussi de l’Équipement, de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et de l’Urbanisme entre 1993 à 2000. Cependant, de nos sources concordantes, il nous est révélé et fort évident que le parti de la poignée des mains pourrait enregistrer une cascade de démissions des poids lourds avant la présidentielle du 29 juillet prochain.

En ce qui concerne l’avenir du PARENA et de son président, il ne reste que ce parti n’enregistre aucun conseiller à Bamako et à l’intérieur du pays. Par conséquent, son président pourrait annoncer d’ici 2020 son retrait sur la scène politique malienne pour devenir le président des blogueurs.

À suivre !

Nia Dialla KEITA, journaliste politologue et investigateur au Mali

Par croissanceafrik@gmail.com

Daouda Bakary KONE

UMOA : Baisse de l’Inflation dans la plupart des pays partenaires

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Selon le Rapport sur la Politique Monétaire dans l’UMOA Juin 2018, durant le premier trimestre 2018, les pressions inflationnistes ont baissé dans les pays avancés à l’exception des Etats-Unis. De même, dans la plupart des pays émergents et en développement, il est noté une détente des prix.
Dans la Zone euro, l’inflation est ressortie légèrement en baisse, passant de 1,4% en décembre 2017 à 1,3% en mars 2018. De même, au Royaume-Uni, le taux d’inflation a fléchi de 0,5 point pour s’établir à 2,5%, en mars 2018, tout en demeurant au-dessus de l’objectif de 2,0% poursuivi par la Banque Centrale. En revanche, aux Etats-Unis, le taux d’inflation, en glissement annuel, a augmenté de 0,3 point de pourcentage pour se situer à 2,4% à fin mars 2018.
Dans les principales économies émergentes, les pressions inflationnistes restent faibles. Au Brésil, les prix ont augmenté de 2,7% à fin mars 2018, en variation annuelle, après 2,9% trois mois plus tôt. En Russie, la baisse des prix se poursuit. Le taux d’inflation s’est établi à 2,4% à fin mars 2018, après 2,5% à fin décembre 2017.
En revanche, en Inde, les prix ont maintenu leur tendance haussière, le taux d’inflation est ressorti à 4,4% en mars 2018 contre 4,0% en décembre 2017. En Chine, le taux d’inflation, en rythme annuel, est passé de 1,8% en décembre 2017 à 2,1% en mars 2018.
Dans les pays de la sous-région ouest africaine, partenaires de l’Union, les tensions inflationnistes ont baissé. Au Ghana, il est noté une détente des prix, l’inflation passant de 11,8% à 10,4% sur la période. De même au Nigeria, l’inflation a ralenti de 2,0 points de pourcentage pour se situer à 13,3% à fin mars 2018.

Pathé TOURE

Mail:croissanceafrik@gmail.com