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Mali: Les populations de Bacodjicoroni dans la Commune V du district, entre joie et espoir pour un meilleur cadre de vie!

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Le Ministre du Développement Local, l’Ambassadrice de France au Mali, et le Maire de ladite localité ont inauguré ce mercredi matin les dalles et pavés de grès dans le quartier de Bacodjicoroni. Ces réalisations entrent dans le cadre du Projet d’Appui au Développement et à l’Aménagement du quartier de Bacodjicoroni.

 

 

Les travaux ont concernés 41 rues dudit quartier. C’est un financement de l’Etat malien et ses partenaires français, notamment l’Agence Français de Développement et la Fondation SADEV.

 
Le ministre Soumana Mory COULIBALY qui a présidé cette cérémonie, a invité les autorités municipales à préserver les ouvrages de toute dégradations.

 

 

 

Le patron du département en charge du développement local a aussi salué l’initiative de la Mairie de la commune V qui vise à former le personnel du service d’assainissement. Une formation dont le début est programmé dans les jours à venir.

 

Notons que les travaux ont coûté plus de 600 millions de francs Cfa.

 

Source : C/COM -MDL

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Mali:Conférence de lutte contre le financement de Daech et d’Al-Qaïda (Paris, 25-26 avril 2018)

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Dr Boubou CISSE a pris part à la rencontre ministérielle de la Conférence internationale contre le financement d’Al-Qaïda et de Daech, « No Money for Terror », organisée les 25 et 26 avril à Paris au siège de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques).
Cette rencontre ministérielle a été précédée, le 25 avril, d’une journée d’échanges entre les experts de la lutte contre le financement du terrorisme (magistrats, cellules de renseignement financier, services de renseignement, police judiciaire, douanes, experts de la régulation financière).
Les experts de la Cellule Nationale de Traitements des Informations Financières du Mali (CENTIF) ont participé aux travaux et une déclaration finale a été adoptée à l’issue de la conférence.
Cette conférence internationale avait comme objectif de proposer des solutions concrètes pour lutter contre le financement du terrorisme. La conférence a mobilisé les représentants de 70 Etats et les responsables de près de 20 organisations internationales, régionales et agences spécialisées dans la lutte contre le terrorisme.

 

Daouda Bakary KONE Journaliste économique, fondateur et directeur de la publication du site d’information économique croissanceafrique.com

 

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Rencontre avec la secrétaire d’État auprès du ministre français de l’Économie et des Finances (Paris, le 26 avril 2018).

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Reçu au Ministère français de l’Economie et des Finances, Dr Boubou CISSE et Madame Delphine Gény-Stephann ont échangé sur la coopération bilatérale entre les deux pays, notamment dans les domaines économiques et commerciaux.
Le Ministre de l’Economie et des Finances s’est exprimé sur la situation de l’économie malienne, les bonnes relations entretenues avec les partenaires techniques et financiers, dont la France et a évoqué les défis du Mali dans le cadre de la transformation structurelle de son économie, notamment : le développement des infrastructures, la lutte contre la corruption et le blanchiment d’argent, l’augmentation des recettes fiscales, la gestion des finances publiques et le développement du secteur privé.
Sur le plan multilatéral, les deux personnalités ont échangé sur les avancées de l’initiative Alliance Sahel, dont une importante réunion à laquelle le Ministre de l’Economie et des Finances a participé à Washington, ainsi que la Conférence internationale contre le financement de Daech et d’Al-Qaïda qui a eu lieu à Paris.
Madame Delphine Gény-Stephann a félicité le Mali pour ses résultats économiques et la bonne tenue des finances publiques ainsi que la bonne coopération qu’il entretient avec les partenaires techniques et financiers.
Le Dr Boubou CISSE a également rencontré des personnalités du monde économique et financier en France.
La promotion des atouts et opportunités de l’économie malienne a été au cœur de la visite du Ministre de l’Economie et des Finances à travers les rencontres d’échanges avec des chefs d’entreprises et responsables de fonds d’investissements. Il s’agit notamment du Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN), Paris EUROPLACE, BPI France et un cabinet d’investissement chinois.
Les efforts entrepris par le gouvernement malien ces dernières années, notamment dans les secteurs de l’Agriculture, de l’industrie de transformation, des PME/PMI, des infrastructures et de l’Energie, ont beaucoup intéressé ses interlocuteurs qui ont exprimé leurs intentions de poursuivre les échanges, dans les semaines à venir au Mali.

 

Source: Daouda Bakary KONE Journaliste économique,  fondateur et directeur de la publication du site d’information économique croissanceafrique.com

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Mali: Le Ministre de l’Economie et des Finances était l’invité principal de la 3ème Conférence Internationale sur la Croissance Partagée avec l’Afrique

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L’événement  s’est tenue le jeudi 26 avril 2018, à l’Assemblée Nationale française, sur le thème de “ l’industrialisation de l’Afrique ”.

De retour de Washington où il avait participé aux Assemblées Annuelles de printemps du FMI et de la Banque Mondiale, Dr Boubou CISSE a intervenu lors de la Conférence Internationale sur la Croissance Partagée avec l’Afrique « Industrialiser l’Afrique ». Il a également rencontré des personnalités du monde économique et financier en France.
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Organisée par l’ONG internationale Croissance PEACE (Partagée Entre Afrique Chine et Europe), plusieurs personnalités africaines et françaises ont pris part à cette conférence dont l’ancien premier ministre guinéen Lassana Kouyaté, l’ambassadeur du Sénégal en France, le Président du Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN) Etienne Giros, le député français Guillaume GOUFFIER-CHA ainsi que plusieurs chefs d’entreprises.

Dans son discours, le Ministre de l’Economie et des Finances a axé son intervention sur la nécessité pour l’Afrique de disposer d’une classe d’entrepreneurs afin de bâtir un tissu industriel local dynamique capable de conquérir le monde et le rôle que les états africains devront jouer pour impulser le secteur assez rapidement.

« L’industrialisation, qui se traduit concrètement en création d’industries, est le fait d’initiatives des entrepreneurs. Et sur ce plan il ne faut pas se leurrer, il n’y aura pas d’industrialisation viable qui n’est pas basée sur l’entreprenariat local. L’exemple de pays qui ont réussi leur décollage industriel indique que ces pays ont déterminé les secteurs dans lesquels ils voulaient investir et développer un véritable avantage compétitif. Ils se sont basés sur un tissu national d’opérateurs qui ont travaillé main dans la main avec l’Etat. Ce sont eux qui ont investi dans la durée pour asseoir les bases leur permettant de conquérir le monde. Le sud-coréen Samsung est à la pointe dans son secteur d’activité. Il n’y a rien qui empêche un pays africain d’emprunter la même démarche » a déclaré Dr Boubou CISSE.
La bonne coopération état-entreprises constitue une des clés de réussite de l’industrialisation et le Ministre de l’Economie et des Finances cite les exemples des pays asiatiques, de la France où « les entreprises évoluent dans les secteurs que l’Etat a décidé d’impulser, travaillant en tandem pour définir les axes de recherche et d’innovation et les modalités de la collaboration universités/entreprises ».

Le rôle crucial des états constitue un des facteurs clés de succès pour réussir l’industrialisation de l’Afrique, au bénéfice des populations en matière de créations de richesses et d’emplois.
« Les gouvernements africains devront intégrer cette donne dans la recherche de voies permettant d’asseoir une industrialisation sur des bases solides. Le reste du monde protège son industrie et ses secteurs prioritaires, l’Afrique doit en faire autant. Mais il faut que ce soit une protection efficace, à l’instar de celle qui a été appliquée en Corée du Sud où les entreprises recevaient des incitations si elles atteignaient un certain volume d’exportations. Le gouvernement Macron l’a bien compris puisqu’il cherche à développer un système de financement des startups de façon que les créateurs d’entreprise dans les secteurs de pointe ne soient pas motivés dès le départ par l’idée de se faire racheter par une grosse multinationale qui va ensuite les délocaliser, les absorber ou les tuer parce qu’ils représentent un concurrent potentiellement dangereux. La décision récente d’allouer un budget important pour le développement de l’intelligence artificielle participe de cette logique » explique le Ministre.

Dr Boubou CISSE a également porté la réflexion sur la nécessité de ne pas se focaliser exclusivement sur ce seul indicateur car : « Si jadis la force d’un pays reposait sur son industrie, l’arrivée de l’économie numérique a bouleversé la donne, reléguant au second rang l’industrie au même titre que l’industrie avait relégué l’agriculture au second rang. Ce qui est donc important pour un pays, c’est d’exploiter un avantage compétitif (c-à-d, basé sur le savoir et le savoir-faire qui sont en constante évolution) en lieu et place de l’avantage comparatif basé sur les ressources naturelles et la géographie, concept qui était prédominant jusqu’à l’irruption des technologies de l’information ».
En guise de reconnaissance et pour avoir reçu pour la première fois un ministre en activité lors d’une conférence Croissance Peace et pour la qualité de sa participation, Monsieur Ludovic Emanuely, président de l’ONG Croissance Peace a remis le trophée du « Prix Grand prix Croissance Peace » au Ministre de l’Economie et des Finances du Mali. Par la suite, le député français Guillaume GOUFFIER-CHA remettra également au Dr Boubou CISSE, la médaille de l’assemblée Nationale Française.
En acceptant avec beaucoup d’honneur ces deux prix, le ministre a remercié les organisateurs.

Croissance PEACE (Partagée Entre Afrique Chine et Europe) est une organisation non gouvernementale (ONG) ayant pour principal but de favoriser un partage économique multilatéral entre l’Afrique, la Chine et l’Europe. Elle fut créée par Ludovic Emanuely en 2012 dans le but d’établir une relation « gagnant-gagnant » entre l’Afrique, l’Orient et l’Occident.

 

Daouda Bakary KONE, journalisme économique, fondateur et directeur de la publication du site d’information économique croissanceafrque.com

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MALI: SEGOU PASSE A LA REVUE DU CADRE STRATEGIQUE POUR LA RELANCE ECONOMIQUE ET LE DEVELOPPEMENT DURABLE.

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La salle de conférence du gouvernorat de Ségou a servi de lieu, ce mercredi 9 mai, à la tenue de la revue régionale du cadre stratégique pour la relance économique et le développement durable, dans la région de Ségou. organisée par le ministère de l’économie et des finances, la rencontre a permis de collecter auprès des structures régionales, des informations permettant d renseigner et de mettre à jour les indicateurs de mise en œuvre du CREDD.

Cette rencontre a surtout regroupé à Ségou, des représentants des grands groupes d’acteurs. Notamment l’administration régionale, la société civile, le secteur privé, les collectivités territoriales, les partenaires techniques et financiers. Ils étaient une centaine de participants à prendre part à la rencontre, présidée par le gouverneur, Biramou Sissoko.

La rencontre de Ségou a aussi permis d’analyser des politiques publiques sur la base des informations collectées, de proposer des orientations stratégiques sur la base des priorités de la région de Ségou en vue de l’alimentation et de l’élaboration du document de référence post-CREDD. Elle s’est tenue après celle de Kayes, Sikasso et Mopti. Elle s’est tenue avec l’appui financier de l’union européenne, le PNUD et la banque mondiale.

Douba Dembele

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CaixaBank installe un bureau de représentation en Algérie

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La banque espagnole CaixaBank vient d’annoncer l’installation officielle de son bureau de représentation à Alger afin d’assurer notamment l’accompagnement des entreprises espagnoles qui entretiennent des relations économiques avec l’Algérie.
La représentation permettra à CaixaBank d’apporter un appui direct aux activités de commerce extérieur et aux projets d’investissement des entreprises espagnoles. Elle apportera en outre un soutien en faveur des entreprises algériennes activant vers le marché espagnol.
Avec le développement de ses activités vers l’Algérie, la banque espagnole voit désormais ses parts de marché atteindre, selon ses responsables, 40% des garanties internationales émises et 42% pour les crédits documentaires à l’exportation.
L’Algérie, constitue un marché prioritaire pour l’Espagne, dont il est l’un des principaux partenaires commerciaux. L’Algérie se classe ainsi au rang de 15e client mondial de l’Espagne et de deuxième à l’échelon du continent africain.
A fin 2017, révèlent les statistiques des Douanes algériennes, l’Espagne figurait parmi les principaux fournisseurs de l’Algérie avec un montant de 3,13 milliards de dollars, soit 6,8% des importations algériennes globales. En termes d’exportations, l’Espagne compte également parmi les clients privilégiés de l’Algérie avec un montant de 4,14 milliards de dollars, soit une part de 12% du total des ventes algériennes à l’étranger.
Selon la banque, dans le domaine de l’investissement, l’Espagne compte environ 300 entreprises établies en Algérie, dont certaines de taille moyenne et grande, activant notamment dans les secteurs de l’ingénierie, de l’eau, de la construction et de l’énergie.

 

Elwatane

 

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Tchad : la Banque mondiale approuve une subvention de 41 millions de dollars pour l’agriculture

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La Banque mondiale a approuvé une subvention de 41 millions de dollars au gouvernement tchadien a travers l’Association internationale de développement (IDA) pour promouvoir l’adoption d’innovations technologiques dans le secteur agricole, stimuler durablement la productivité et renforcer la résilience climatique zones ciblées dans le pays.
Le Projet d’amélioration de la productivité et de l’agriculture résilientes au climat (ProPAD) bénéficiera à quelque 360 ​​000 personnes et donnera la priorité aux petits exploitants qui cultivent de 1 à 5 hectares de terres chaque année. En plus d’améliorer la sécurité alimentaire et la nutrition des ménages ruraux, le projet vise à accroître les revenus des ménages et à les aider à commercialiser une part plus importante de leur production.
“Bien que le Tchad possède une superficie agricole totale de plus de 49 millions d’hectares, seulement 6% sont actuellement cultivés. De plus, seulement 9% des ressources en eau disponibles sont utilisées et moins de 1% des terres agricoles sont irriguées », a déclaré Soukeyna Kane, directeur pays de la Banque mondiale pour le Tchad.
Le projet sera développé dans les régions de Salamat, Moyen-Chari et Mandoul car elles offrent un fort potentiel agricole, tout en affichant des taux de pauvreté rurale et d’insécurité alimentaire très préoccupants.
“Le projet sera mis en œuvre dans des zones où vivent près de 1,5 million de personnes – soit plus de 11% de la population totale. Les régions ciblées sont également caractérisées par des niveaux de pauvreté élevés: 70,9% à Mandoul, 61,4% au Moyen-Chari et 48,4% à Salamat. Dans ces communautés, le taux moyen de fécondité est estimé à environ 6,5 enfants par femme “, a déclaré François Nankobogo, Directeur pays de la Banque mondiale pour le Tchad.
Fonds de la Banque mondiale pour les pays les plus pauvres, l’IDA est l’une des plus grandes sources d’assistance pour les 75 pays les plus pauvres du monde, dont 39 en Afrique

 

Finacialafrik

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La BCP et la BAD signent un accord de 100 millions de dollars

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Le Groupe Banque Centrale Populaire (BCP) et le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) ont signé, ce mardi 8 mai 2018, un Accord de participation aux risques (APR) d’un montant de 100 millions USD.
“Ce programme de partage de risque, qui constitue une première dans le secteur bancaire marocain, permettrait la réalisation d’un volume de transactions estimé à 700 millions USD à horizon de trois ans”, indique la BCP dans un communiqué.
A travers ce partenariat, la BCP et la BAD s’allient en vue de stimuler l’essor du commerce intra-africain en faveur de secteurs clés, tels que l’industrie, l’agroalimentaire, la santé ou encore les services.
Cet accord répond, en effet, aux besoins croissants en matière de financement des échanges commerciaux entre les opérateurs marocains et les entreprises du continent qui représentent un levier majeur pour l’intégration financière en Afrique.
«Notre partenariat avec la BAD répond parfaitement à l’un des axes prioritaires de notre stratégie, qui vise à accompagner activement le développement du commerce intra-africain, en mettant à la disposition des entreprises marocaines des mécanismes de financement appropriés», souligne, à ce titre, Kamal Mokdad, Directeur général du Groupe BCP en charge de l’International.
De son côté, Mohammed El Azizi, Directeur général de la Banque africaine de développement pour l’Afrique du Nord, précise que «ce partenariat avec la BCP aidera à libérer le potentiel de croissance du commerce intra-africain, qui constitue un vecteur important d’intégration régionale». «Cet accord sera un véritable catalyseur en matière d’investissement et de création d’emplois», ajoute-t-il.

 

Daouda Bakary

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Maroc : Partenariat entre Casablanca Finance City et le centre financier de Pékin

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La marocaine Casablanca Finance City, première place financière d’Afrique, annonce la signature d’un partenariat avec le centre financier chinois de Beijing afin de promouvoir les investissements entre le Maroc, la Chine et l’Afrique.
Ce protocole d’accord signé avec l’établissement public chargé du développement du district financier de Xicheng à Pékin constitue le premier accord du genre conclu avec une place financière chinoise.
« Ce partenariat, établi avec le Xicheng District Financial Development Promotion Center (XDFDPC), marque une nouvelle étape dans l’extension de son réseau de coopération avec les principales places financières mondiales » note un communiqué de la CFC.
CFC entend profiter de l’expérience chinoise dans le cadre de l’internationalisation du renminbi et du développement du secteur des Fintech. Elle compte aussi attirer les institutions financières, les sociétés holding, les multinationales et les fournisseurs de services chinois. Le partenariat s’étend à l’organisation de programmes professionnels de formation, activités de recherche, publications et échanges de délégations.
En signant cet accord avec le centre financière chinois, la CFC est désormais liée à 8 centres financiers dans le monde, dont Singapour, Londres, Luxembourg et Paris.

 

Finacialafrik

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La BRVM accueille une session d’échange sur la digitalisation des marchés de capitaux africains

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La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) a accueilli une session d‘échanges, le 8 mai 2018, sur « la digitalisation des marchés de capitaux africains : le cas de M-AKIBA au Kenya » en collaboration avec Making Finance Work for Africa (MFW4A) de la Banque Africaine de Développement (BAD), le 08 mai 2018 à son siège.
Cette session, qui a vu la participation des acteurs des secteurs financiers et des télécommunications, s’est articulée autour d’une téléconférence, retransmise depuis Nairobi, et d’échanges sur les enjeux de la digitalisation des marchés de capitaux africains.
La téléconférence, qui a permis de présenter le projet et de discuter des enseignements tirés du lancement du premier produit obligataire dénommé M-AKIBA, a été animée par les promoteurs de celui-ci, le Nairobi Securities Exchanges, le Ministère Kenyan des Finances et la Banque Centrale du Kenya. Les échanges qui s’en sont suivis avec les participants ont porté sur le potentiel de réplication et de développement de ce modèle sur d’autres marchés africains et notamment les prérequis de la digitalisation et ses répercussions pour le marché financier régional de l’UEMOA et son écosystème.
Dr Edoh Kossi AMENOUNVE, Directeur Général de la BRVM, a indiqué que « l’expérience du Kenya avec M-AKIBA est un bel exemple sur lequel les autres bourses pourraient s’appuyer en prenant soin, évidemment de scruter, d’analyser, d’explorer les points forts et tirer enseignement des points faibles pour d’éventuelles améliorations »

Source BRVM

 

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