Une situation qui est le résultat de la décision de l’Arabie Saoudite d’augmenter à plus de 10 millions b/j sa production pétrolière et de casser les prix de vente de son brut pour le programme de chargement d’avril. Comme en 2014, on voit clairement une stratégie du premier producteur de l’OPEP visant à aller chercher des parts de marché, à la suite de l’échec de l’alliance OPEP+ sur une réponse coordonnée à la crise du coronavirus.
Le pétrole atteint son plus bas niveau depuis 1991 et les perspectives ne sont pas reluisantes
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