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Mali: Le message d’au revoir du ministre Yaya Sangaré au parlement de la CEDEAO

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Hier dimanche matin, au parlement,voici le message qu’il a délivré à ses anciens collègues lors de la clôture de leur deuxième session ordinaire de l’année 2018. C’était en présence de l’ambassadeur du Mali auprès de la CEDEAO, Son Excellence Moustapha Traoré.

– Honorable Président du Parlement de la CEDEAO, cher frère et ami, Moustapha Cissé Lô,
– Honorables membres du Bureau, Madame, Messieurs les Vice-présidents,
– Mesdames, Messieurs les membres de la conférence des bureaux,
– Honorables députés, membres du Parlement de la CEDEAO,
– Honorables chefs de délégation de pays,
– Monsieur le Secrétaire général et tout le personnel de l’administration du Parlement,
– Mes amis interprètes,
– Mes frères et sœurs de la presse écrite, audiovisuelle et en ligne,
– Mes charmantes hôtesses, agents de protocole, chauffeurs qui ont agrémenté nos séjours, ici,
– En vos rangs et qualités, tous protocoles respectés,

Au moment de mon départ de ce Parlement communautaire, je voulais dire quelques mots d’au revoir à mes collègues qui vont me manquer.
Des mots simples, mais essentiels afin de vous quitter positivement et dans la réalité de mes ressentis.

J’ai fait un beau voyage en votre compagnie, un voyage au cours duquel, j.ai construit des amitiés (des solides parfois), mais peut être aussi des inimitiés, cependant toujours malgré moi, car résultant le plus souvent de divergences d’opinion et de ma tendance naturelle à défendre mes convictions.
Chacun d’entre vous m’a appris quelque chose de moi-même et m’a permis de m’améliorer.

Au moment de mon départ de de Parlement, qui n’est point une séparation, car en ma qualité de ministre des Maliens de l’extérieur et de l’intégration africaine, notamment en charge des questions de la CEDEAO, je voudrais vous remercier toutes et tous, avec la plus grande des sincérités.

Dire merci à chacun d’entre vous pour tous les bons moments passés ensemble, pour les débats, les contradictions, pour les travaux en commission, les réunions délocalisées.

Pendant mes dix ans passés ici, j’ai toujours été habité par mes convictions, ma ferme volonté de toujours faire mieux pour notre instrument d’intégration au service exclusif de nos communautés qui n’ont besoin que de circuler librement, sans entraves, à la recherche d’un mieux-être chez un voisin, un ami, un parent établi au-delà d’une frontière imaginaire.

Ces instants de ma vie professionnelle et politique sont chargés d’émotion pour moi. J’ai certainement offusqué des collègues, des cadres ou agents de l’administration du Parlement; j’ai été, certainement quelques fois, durs dans mes réactions, dans mes discours, peut-être même désagréable; à chacun et à tous, à ceux qui ont écouté sans réagir et à ceux qui ont légitimement réagi, je m’incline religieusement aujourd’hui pour demander Pardon.

Mais, je m’en vais le cœur apaisé et fier de cette expérience professionnelle et personnelle partagée avec vous. Je reste toujours avec vous en changeant simplement de place et de responsabilité. En effet, considérez- moi comme un des vôtres, en mission; je ne faillirai pas, chaque fois qu’il s’agira de défendre les causes justes pour le renforcement de notre communauté.

Honorable Président,
Chers amis députés (permettez-moi en ce moment de vous appeler Chers collègues, pour la dernière fois),

Si je devais résumer mon émotion en trois petites phrases, je dirais:
• J’ai été très heureux avec vous tous dans mon travail parlementaire (et je l’espère l’être dans ma nouvelle responsabilité gouvernementale)

• J’ai adoré mon statut de député qui m’a motivé jusqu’au dernier moment.

• Je pars de l’Assemblée nationale du Mali et du Parlement de la CEDEAO en étant en parfait accord avec moi-même, mes principes et mes convictions.

Je vous remercie, chacun, chacune pour ce que vous m’avez donné, pour tout ce que vous m’avez apporté, j’ai reçu tellement d’amabilités, tellement de mots de félicitations et d’encouragements, tellement de leçons de la vie, de votre part !!! Des députés aux fonctionnaires, en passant par les interprètes et le personnel d’appui.

Et, j’en profite pour remercier, une nouvelle fois, le Président du Parlement, Honorable Moustapha CISSE LO, pour les mots aimables et réconfortants qu’il a prononcés à mon endroit lors de l’ouverture de votre session extraordinaire d’Abidjan, ainsi que mon Vice-président, l’Honorable SAMPSON Ahi et les membres de la Commission Affaires Politiques, Paix, Sécurité et MAEP que j’ai eu l’honneur de diriger jusqu’à ma nomination comme membre du Gouvernement de la République du Mali.

Merci à toutes les délégations nationales représentées dans ce Parlement, singulièrement à la délégation malienne qui m’a choisi comme coordonnateur et qui a pu et su me soutenir et quelquefois me supporter, malgré mes caprices et mes humeurs volatiles.

Si j’avais un seul conseil à vous donner, Honorables députés communautaires, chers frères et sœurs, ce serait de bien veiller à toujours être en harmonie avec notre conscience, dans ce monde en perpétuelles turbulences. Car, de mon point de vue, le vrai bonheur de l’Homme réside dans la tranquillité de sa conscience, de son âme. Restons humblement des frères et des sœurs qui se doivent constamment assistance.

Merci d’avoir fait un bout de voyage dans mon train personnel ! … Merci…

Je vous souhaite à chacune et chacun une bonne continuation dans votre vie parlementaire et professionnelle pour poursuivre l’œuvre de consolidation des œuvres que nous avons construites ou tenté de construire ensemble.

Bien à vous !

Source: croissanceafrique.com

Mail: ctoissaceafrik@gmail.com

Banques : Signature de convention entre la BOA-Mali et la Sotelma-Malitel

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Le premier opérateur de téléphonie et la première banque privée du Mali : la Sotelma-Malitel et la Bank Of Africa (BOA) ont procédé à la signature d’une convention le vendredi dernier au siège de la BOA. Ladite convention porte principalement sur deux prêts dits ‘’très avantageux ».
En effet, les deux institutions viennent d’officialiser la signature d’une convention à travers leurs directeurs généraux, Abdalah Ikched de la Bank Of Africa-Mali et Abdalaziz Biddine de la Sotelma- Malitel. A travers cette convention, le personnel du premier operateur de téléphonie au Mali, qui s’élève à environ 600 personnes, bénéficie désormais des meilleures conditions sur les produits et services de la première banque privée du Mali ici implantée depuis 1982.
Le gros lot de ces offres avantageuses est : IKAMOBILI, un prêt étalé sur 7 ans qui permet d’acheter une voiture (neuve ou d’occasion) en leasing (ou location avec option d’achat-LOA) ; Prêt ma Maison (un prêt étalé sur 20 ans) qui est destiné à financer l’acquisition ou la construction d’un bien immobilier à titre de logement principal).
Aussi, à travers ce partenariat, la BOA-Mali offre au personnel de la Sotelma- Malitel un Pack dénommé Salaria. « Le Pack Salaria constitue six produits pour un seul abonnement mensuel minime et pour le personnel de la Sotelma- Malitel, des taux d’intérêt réduits (par rapport aux standards) pour tous les prêts personnels avec un Compte de chèques, un compte épargne, Prêt Tous à l’école, Prêt Tabaski, Prêt Epargne, Ambition (PEA) , les Crédits à la consommation, Prêt Epargne rachat denommé vitamine sans oublier des services digitaux comme le B-SMS, le B-WEB et le B-Phone », a ajouté Abdalah Ikched.
Pour le Directeur général de la BOA, cette convention marque de l’excellence de la relation qui existe entre la Bank Of Africa-Mali et la Sotelma-Malitel. A ses dires, ce n’est qu’un pas de plus dans le renforcement d’une coopération mutuellement avantageuse que les deux Institutions feront évoluer par un échange permanent.
Pour sa part, le directeur général de Sotelma- Malitel a promis des offres internet très avantageuses d’ici janvier 2019. Cela, pour la motivation du personnel de la banque. Aussi, Abdalaziz Biddine a réitéré sa disponibilité de travailler pour le développement du business et de l’économie malienne.
Mahamane Maïga

Source: lejecom.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Attentat de Strasbourg : Cheriff Chekatt a été abattu par la police

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L’auteur présumé de l’attentat du marché de Noël a été abattu par la police, jeudi soir à Strasbourg.

A l’issue de 48 heures de traque, Cherif Chekatt, l’auteur de l’attaque près du marché de Noël a été retrouvé dans le Neudorf jeudi soir et neutralisé par la police aux alentours de 21 heures. Le fugitif a été abattu par un équipage de police au 74 rue du Lazaret, dans le quartier du Neudorf, le secteur où il avait été localisé pour la dernière fois mardi soir.

Fusillade à Strasbourg : le profil inquiétant du tireur, Cherif Chekatt

« Il a tiré sur une équipe de policiers de sécurité publique qui a riposté  » a indiqué une source policière.
720 membres des forces de l’ordre mobilisés
La police nationale avait lancé mercredi soir un appel à témoins pour retrouver cet « individu dangereux » de 1,80 m, « peau mate », « corpulence normale » et qui présente une « marque sur le front ». Toute personne en possession « d’informations permettant de le localiser » est appelée à composer le 197.

40 radicalisés dangereux signalés : Strasbourg, terre de djihad

Au total, 720 membres des forces de l’ordre étaient lancés à sa recherche et cinq de ses proches ont été placés en garde à vue : ses parents et deux de ses frères dès mercredi, et un autre membre de son entourage jeudi.

Né à Strasbourg et fiché « S » (« sûreté de l’État ») pour sa radicalisation islamiste, Chérif Chekatt, 29 ans, avait un passé judiciaire très lourd avec 27 condamnations.

Après la fusillade aux alentours de 20 heures mardi soir dans des rues commerçantes du centre historique de Strasbourg, l’assaillant, équipé d’une arme de poing et d’un couteau, avait ensuite échangé des tirs avec les forces de l’ordre, qui l’ont blessé au bras.

Puis, dans des circonstances encore floues, il était parvenu à prendre un taxi pour se rendre dans le quartier du Neudorf, où avait eu lieu un nouvel échange de tirs avec la police, avant qu’il ne disparaisse.

(avec AFP)

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À Katowice (Pologne), les négociations de la COP24 tirent vers une prolongation.

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La tenue d’une nouvelle rencontre pour adopter les grandes décisions n’est pas à exclure, affirme Ahmed Sékou Diallo, représentant de la société civile du Mali.

A quelques heures de la fin prévue du Sommet mondial pour le Climat, les négociations avancent difficilement. Les 197 États ont jusqu’à ce jeudi pour présenter le « rulebook », c’est-à-dire le manuel d’application qui permet la mise en application de l’accord de Paris.

Deux points de blocage persistent dans l’hémicycle.

Le premier, c’est l’objectif de rehausser « l’ambition climatique » sur les engagements de réduction des émissions de gaz à effet de serre pour maintenir un objectif sous les 2°C. Les acteurs veulent y croire et s’y conformer après l’alarme lancée par le dernier rapport du GIEC.

Après leur refus catégorique à la fin de la première semaine, les États-Unis et l’Arabie Saoudite ont été vivement critiqués ces deux derniers jours.

Le second concerne les financements pour mettre en œuvre les projets d’atténuation et d’adaptation. Les moyens devraient également être revus à la hausse si les ambitions sont révisées, alors que les contributions initiales des pays développés au Fonds Vert Climat restent insuffisantes.

De leur côté les ONGs ont proposé une nouvelle initiative, une taxe basée sur le principe de pollueur-payeur, qui s’appliquerait aux entreprises les plus polluantes et prélevée à la source. Les grandes compagnies pétrolières et de gaz sont les premières visées.
Mouhamadou TOURE

Pour la Fondation Hirondelle

Par croissanceafrique.com

Mail: croissanceaafrik@gmail.com

Urgent: Affaire Manassa contre notre confrère Boubacar Yalkouyé: Après débats, la décision sera rendue le 27 décembre 2018 à 9 heures.

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Au moment ou nous mettions sous presse, la presse nationale a boycotté le procès encours, les juges exigent à ce qu’on divulgués nos sources, là, la presse dit non. Déja nous avons constaté des remarques en ce qui le Procès de B Yalkoyé et ce sont des remarques qui ne passeront pas. Ensuite, la consignation fixée à la somme de 500 mille F CFa a été payé par Manassa et non par la cour constitutionnelle, alors que c’est elle, la cour constitutionnelle qui doit payer cette consignation. Une chose qui n’est pas l’égale.

Le juge a renvoyé le président de l’ASSEP Bassiki Touré , et la presse a suivie son président, nous somme actuellement cantonné à la grande porte du tribunal de la commune V. Ce qu’il faut savoir ici, c’est que depuis 6h00, au tribunal de la commune V, tous les artères et tous les carrés sont bloqués par les gendarmes et les élements de la garde nationale.

Dans un premier temps, le juge a essayé de renvoyer Maître Mamata TOUREdans la salle d’audience, cela n’a pas marché car les autres avocats ont voulu le suivre mais pour une deuxième fois consécutive, la presse a boycotté raison pour laquelle, nous suivons le instructions de nos chefs et donc directement, nous avons dit « Non » à la politisation de notre procès.

Pour dire qu’au tribunal de grande instance de la commune 5, malgré la pertinence des exceptions soulevées par les avocats de notre confrère Yalcoué, le juge a décidé de joindre les exceptions au fond. Les avocats du prévenu avaient demandé que les exceptions soient vidées. Les débats continuent sans les confrères qui ont décidé de quitter la salle d’audience.

Ce procès cour constitutionnelle contre le journal Le Pays au tribunal de la Commune V ressemble a un procès politique. Les journalistes venus nombreux pour soutenir leur confrère ont decidé de quitter la salle par solidarité après que le juge ait chassé de la salle, un des leurs.

Selon Boukary N’Daou directeur de publication du journal « L’Independant « le bâtiment et la rue du tribunal est bouclé par des forces de l’ordre qui restent à côté de leurs véhicules près à intervenir. Mais de quelle intervention sagit-il? Contre les professionnels des médias? » s’interroge – t – il.

Il est 13h 40, les journalistes sont actuellement sous les arbres hors du tribunal et attendent.Des responsables de presse ici présents et leurs journalistes? Dramane Aliou Koné, président de la maison de la presse, Makan Koné président du Forum des éditeurs africains, Fakara Fainké président de l’Unajom, Boukary Daou président du Réseau Media et Droits de l’Homme, Bassidiki Touré président de l’Assep et plusieurs directeurs de publication. Ce qui est étonnant c’est la mobilisation de tant de forces de l’ordre, tant d’éléments et des véhicules de la Protection civile, tout ça pour ça?

Dors et déjà, nous pouvons dire qu’on assiste à un procès politique et biaisé et après débats, la décision sera rendue le 27 décembre 2018 à 9 heures. L’audience a prit fin à 15h moins d’équart et les avocats de défense etaient composé de Me Abdourahamane Ben Mamata Toure, Me Zana KONE, Me Malick Ibrahim et Me Demba TRAORE.
Ces 4 avocats sont parmi les meilleurs avocats de la capitale. Ce sont les mêmes avocats qui ont défendu Ammy Baba Cissé du figaro du Mali dans le procès dans l’affaire dite (Flagrant délit du président de l’Assemblée Nationale en 2017, suivie d’autres comme celui de Adama Dramé dujourna(Lesphinx) dans l’affaire de disparition du journaliste Birama Touré depuis 2016.

Il faut noter que « L’un des avocats de Namassa a martelé à la barre que la Presse est menace pour le Mali » a-t- il laissé entendre, certainement l’opinion de sa cliente.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

Formés en chine, les étudiants Burkinabés exposent les connaissances pratiques dans le domaine des TIC

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Huit étudiants burkinabè exposent les connaissances pratiques dans le domaine des TIC acquises pendant leur stage en Chine populaire à Madame Hadja OUATTARA/SANON

La Ministre du Développement de l’Economie Numérique et des Postes, Madame Hadja OUATTARA/SANON, a présidé dans la matinée de ce jeudi 13 décembre 2018, une cérémonie d’accueil d’étudiants rentrés de la Chine populaire dans le cadre d’un stage pratique à la faveur de huit bourses offertes par la société chinoise Huawei.
Dans le cadre de son programme « Graine de l’avenir », la société chinoise Huawei a octroyé huit (8) bourses à des étudiants burkinabè évoluant dans le domaine des TIC pour effectuer un stage de trois (3) mois dont deux semaines en Chine populaire.

De retour de ce stage, Madame Hadja OUATTARA/SANON a souhaité les accueillir officiellement afin d’en savoir davantage sur les techniques apprises.
Les étudiants ont tout d’abord remercié la Ministre en charge des TIC pour cet accueil avant de décliner les retombées intellectuelles et pratiques de leur stage. La main sur le cœur, les 7 étudiants présents à la cérémonie sur les 8 ont confié avoir appris à configurer des équipements 4G et 5G, à déployer la fibre optique, l’Internet des objets ou Internet of things (IOT) en anglais (arrosage automatique des champs, Cloud Computing, etc.).

Ils ont aussi pu améliorer leur niveau d’anglais et visiter des sites touristiques de la Chine populaire.
A l’issue de leur exposé, Madame Hadja OUATTARA/SANON a mesuré l’énormité du savoir acquis pendant ce stage par les 8 étudiants.

Elle dit refuser de laisser sombrer cette expertise acquise. C’est pourquoi, elle a instruit les étudiants de prendre attache avec ses services techniques pour un stage d’application de leurs connaissances auprès des projets en cours au sein de son département.

La Ministre a remercié la société Huawei pour son acte et souhaité l’agrandissement du nombre de bourses. Madame Hadja OUATTARA/SANON a pour finir, salué l’exemplarité de la coopération entre la Chine et le Burkina Faso.

Le programme Graine de l’Avenir vise à promouvoir des jeunes talents dans le domaine des TIC et à les outiller de connaissances et de pratiques nécessaires pour leurs utilisations parfaites. Affirme, le ministre Burkinabé de l’économique numerique.

Daouda B KONE

Source: croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

MALI: LE CHEF DE L’EXÉCUTIF RÉGIONAL ET LA PRESSE S’ENGAGENT POUR LE DÉVELOPPEMENT MULTISECTORIEL DE LA RÉGION DE SEGOU

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LA salle de réunion du gouvernorat de Ségou a servi de cadre, ce jeudi 13 décembre à une rencontre d’échanges entre le gouverneur de Ségou et les responsables d’organes de presse à Ségou. Ils étaient une vingtaine de patrons de presse, de journalistes reporters et d’animateurs à prendre part à la rencontre. Il s’agissait au cours de la rencontre d’échanges de voir comment mettre un cadre de collaboration entre le gouvernorat, l’administration de l’Etat et les acteurs de la presse à Ségou.

Initiée par le gouverneur Biramou Sissoko, cette rencontre a été appréciée par le président de l’union des radios et télévisions libres du Mali, URTEL. Bandiougou Danté a exprimé toute sa satisfaction quant à une telle initiative, deuxième du genre, après celle initiée par le gouverneur Abou Sow, dans le temps. Aussi bien que lui, le coordinateur de l’URTEL dans la région, Abdoulaye Sagara a assuré de l’engagement de la presse segovienne à accompagner toutes les activités gouvernementales et administratives, dans la région, à travers l’information, la communication et la sensibilisation. Le gouverneur, heureux de voire la presse réunie autour de lui, a demandé à cette presse d’être au coeur du développement de la région. Chacun selon ce qui lui concerne devrait travailler à faire évoluer la région.

Aux termes des échanges, le gouverneur et ses invités du jour étaient tous contents de la telle de cette rencontre du rapproche désormais, l’administration à la presse à Ségou.

Douba Dembélé

Par croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

MALI: LE FONDS DE LA PAIX DE L’UNION AFRICAINE AU CŒUR D’UNE RENCONTRE DE HAUT NIVEAU.

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L’école de maintien de la paix Alioune ( EMP-ABB ) abrite du 12 au 14 Décembre une conférence de haut niveau sur le renforcement de l’efficacité des opérations de soutien à la paix mandatée et autorisée par l’Union Africaine à travers le fonds de la paix. La cérémonie d’ouverture de cette rencontre de haut niveau était présidée par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement Soumeylou Boubèye Maiga en présence du ministre de la défense et des anciens combattants’ Pr Tiemoko Sangaré, le Directeur Général de l’école, le Général de brigade, Cheick Fantamady Dembélé, le sous-sécrétaire générale pour les opérations au département des opérations de maintien de la paix des Nations-Unies,les hauts représentants de l’Union Africaine, les représentants des corps diplomatiques accrédités au Mali.
Dans son mot de bienvenue , le Directeur Général de l’école de maintien de la paix, le Général Cheick Fantamady Dembélé a tout d’abord exprimé sa profonde gratitude au ministre de la défense et des anciens combattants pour tout ses soutient et ses orientations envers l’établissement. Il ajoutera que l’EMP se sent encourager par la tenue de cette conférence dans ses locaux ,car celle-ci s’inscrit en parfaite cohérence avec ses visions stratégiques << Sur une note toute personnelle, nous accueillons aujourd'hui,cette rencontre avec un sentiment de fierté, des personnes avec lesquelles nous avons eu les privilèges d'apprendre et d'acquérir leur expérience dans les conditions particulierement parfaites >> Malgré les progrès considerables accomplis dans la consolidation de la paix, et de la sécurité en Afrique, il subsiste au cours des dernières décennies un certain nombre de facteurs structurels qui rendent le continent vulnérable aux conflits violents et à l’insécurité. Le paysage sécuritaire en Afrique est de plus en plus confronté à des conflits de portée régionale et transnationale, ce qui nécessite des réponses complexes et séquencées entre les pays chefs de file au niveau national et sous régional et les organisations internationales. Ces défis incluent souvent le crime organisé et transfrontalier, le trafic illicite et le terrorisme, c’est pourquoi cette conférence, pendant trois jours, examinera les principaux changements survenus dans le paysage sécuritaire international, qui rendent nécessaire l’examen du << modèle de gestion >> actuel en matière de maintien de la paix. A l’issu des travaux, la conférence formulera des recommandations sur l’utilisation du Fonds de la paix de l’UA et sur la manière, dont celle-ci peut soutenir le déploiement d’opérations de soutien à la paix plus efficace mandaté ou autorisé par l’organisation.

Nous y reviendrons..

Source: Ali24

Par croissanceafrisue.com

Mali: La voix des du jeunes Sahel-phase II, dialogue entre les jeunes et les institutions.

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Le lancement de la phase 2 du projet  » la voix des jeunes du Sahel-phase », a eu lieu le 12 décembre 2018 à l’hôtel Radisson blu de Bamako.

Pour la première fois lancé en 2017,  » la voix des jeunes du Sahel », est un projet mis en œuvre par le Centre pour le Dialogue Humain et financé par l’UE à travers le fonds fiduciaire pour l’Afrique et par le Royaume du Danemark. Ce projet dans sa première phase, était un dialogue entre la jeunesse et leurs autorités, y compris au niveau régional, afin de favoriser l’implication effective de la jeunesse dans le processus de décision politique, économique et sociale. La seconde phase vise à intégrer les organisations de jeunesse dans le processus d’élaboration et de mise en oeuvre des politiques de développement en leur faveur. Il intervient dans cinq(5) pays du G5 Sahel couvre 25 régions ( dont 5 régions par pays). Il cible 1250 jeunes et 50 jeunes de la diaspora sur la base des critères.
Des consultations ont été réalisées autour de quelques thèmes qui sont entre autres l’éducation et la formation professionnelle, les opportunités économiques, la participation citoyenne des jeunes, la migration, la radicalisation et la paix et la sécurité. Cette rencontre a pour objectif non seulement de lancer officiellement les activités de la seconde phase mais aussi de permettre aux jeunes d’adresser aux autorités leurs attentes quant à la concrétisation des trois chantiers nationaux prioritaires pour la jeunesse du Tchad.
Les messages clés des jeunes relatifs aux chantiers nationaux aux autorités qui sont: l’éducation et la formation professionnelle l’objectif est de susciter et valoriser l’apprentissage des métiers en mettant en place des mécanismes permettant de déboucher sur le plein emploi; les opportunités économiques, l’objectif est de contribuer à valoriser les emplois liés à l’agriculture, aux BTP, à l’artisanat, et à la culture, pour les jeunes à travers des mesures incitatives et innovantes, les participations citoyennes avec comme objectif secondaire: contribuer au renforcement de l’éducation du civisme dans le milieu jeune.

Hamadoun Alphagalo

Source: croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Mali: Procès de Boubacar Yakoyé, la presse boycotte la salle d’audience encours.

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Au moment ou nous mettions sous presse, la presse nationale a boycotté le procès encours, les juges exigent à ce qu’on divulgués nos sources, là, la presse dit non. Déja nous avons constaté des remarques en ce qui le Procès de B Yalkoyé et ce sont des remarques qui ne passeront pas. Ensuite, la consignation fixée à la somme de 500 mille F CFa a été payé par Manassa et non par la cour constitutionnelle, alors que c’est elle, la cour constitutionnelle qui doit payer cette consignation. Une chose qui n’est pas l’égale.

Le juge a renvoyé le président de l’ASSEP Bassiki Touré , et la presse a suivie son président, nous somme actuellement cantonné à la grande porte du tribunal de la commune V. Ce qu’il faut savoir ici, c’est que depuis 6h00, au tribunal de la commune V, tous les artères et tous les carrés sont bloqués par les gendarmes et les élements de la garde nationale.

Dans un premier temps, le juge a essayé de renvoyer Maître Mamata TOUREdans la salle d’audience, cela n’a pas marché car les autres avocats ont voulu le suivre mais pour une deuxième fois consécutive, la presse a boycotté raison pour laquelle, nous suivons le instructions de nos chefs et donc directement, nous avons dit « Non » à la politisation de notre procès.

Pour dire qu’au tribunal de grande instance de la commune 5, malgré la pertinence des exceptions soulevées par les avocats de notre confrère Yalcoué, le juge a décidé de joindre les exceptions au fond. Les avocats du prévenu avaient demandé que les exceptions soient vidées. Les débats continuent sans les confrères qui ont décidé de quitter la salle d’audience.

Ce procès cour constitutionnelle contre le journal Le Pays au tribunal de la Commune V ressemble a un procès politique. Les journalistes venus nombreux pour soutenir leur confrère ont decidé de quitter la salle par solidarité après que le juge ait chassé de la salle, un des leurs.

Selon Boukary N’Daou directeur de publication du journal « L’Independant « le bâtiment et la rue du tribunal est bouclé par des forces de l’ordre qui restent à côté de leurs véhicules près à intervenir. Mais de quelle intervention sagit-il? Contre les professionnels des médias? » s’interroge – t – il.

Il est 13h 40, les journalistes sont actuellement sous les arbres hors du tribunal et attendent.Des responsables de presse ici présents et leurs journalistes? Dramane Aliou Koné, président de la maison de la presse, Makan Koné président du Forum des éditeurs africains, Fakara Fainké président de l’Unajom, Boukary Daou président du Réseau Media et Droits de l’Homme, Bassidiki Touré président de l’Assep et plusieurs directeurs de publication. Ce qui est étonnant c’est la mobilisation de tant de forces de l’ordre, tant d’éléments et des véhicules de la Protection civile, tout ça pour ça?

Dors et déjà, nous pouvons dire qu’on assiste à un procès politique et biaisé. Et le procès continu et nous attendons le verdicte……

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com