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Mali-présidentielles : Modibo Koné se lance dans la chambre ourse

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Modibo Koné, ici au premier rang, veut conduire le Mali vers l’alternance.
Investi samedi 16 juin dans son fief de Ségou, Modibo Koné veut forcer l’alternance démocratique au Mali. Devant des partisans venus de toutes les régions, le candidat du Mouvement Mali Kanu a appelé à tirer l’échec des cinq ans d’immobilisme incarné par le président IBK.
«Nous avons tous vécu pendant cinq longues années sous le règne et la gouvernance de la famille du président IBK. Certains d’entre nous ont même accepté d’apporter leur contribution par amour pour notre cher Mali. Nous avons tous vu le résultat. Combien de premiers ministres ? Ministres? Dirigeants de grandes entreprises ont cru et ont été ramenés à une réalité : il est temps d’ouvrir une nouvelle page pour le pays ».
Au terme d’un marathon de 14 mois qui l’a conduit dans les coins et recoins du vaste Mali,l’ancien banquier du développement se dit prêt à relever le défi. Détaillant son programme en 9 points, Modibo Koné insiste sur la reconstruction du Mali autour d’une paix inclusive durable, garantissant La défense et la sécurité des personnes et des biens. Le projet de société de l’ancien haut cadre de la BOAD s’articule autour de la restauration de l’autorité de l’Etat, la gouvernance, la réhabilitation de l’école malienne, creuset de la nation et, entre autres, la promotion de la jeunesse par l’emploi et la culture.
Le premier des présidentielles maliennes opposera 28 candidats le 29 juillet prochain.
Daouda Bakary KONE

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Deux hautes distinctions pour Standard Bank

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La Standard Bank a été récompensée par deux prix prestigieux lors de la cérémonie inaugurale des Southern Trackers Funds Awards en Afrique du Sud (SALTA) qui s’est tenue récemment à la Johannesburg Stock Exchange (JSE).
La plus grande banque africaine par les actifs (163 milliards de dollars de total bilan à la fin 2017) a eu le prix de la meilleure performance des fonds étrangers négociés en bourse (FNB) et de matières premières (AfricaRhodium) et celui du meilleur suivi des FNB étrangers et des marchandises (AfricaGold).
Les prix ont été attribués par trois fournisseurs de services indépendants à l’industrie des fonds négociés en bourse sud-africains (ETF), à savoir Thomson Reuters, Profile Data et etfSA.co.za. Il s’agissait de distinguer leaders de l’industrie émergente des FNB pour, entre autres, les meilleurs rendements de placement totaux pour 1 et 3 ans dans diverses catégories.

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Les gouvernements décident d’identifier les cliens sur les sybercafés

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Dans plusieurs pays d’Afrique, les cybercafés échappent encore à l’identification de leurs clients. Conséquence, ces centres multimédia privés servent parfois de base d’opération à des cybercriminels. Via les équipements de ces structures, ils se savent protégés puisque l’adresse IP de l’ordinateur utilisé ne permettra pas de remonter jusqu’à eux. Avec l’identification, les cybercafés devront enregistrer l’identité de toute personne qui utilise leurs équipements. Ainsi, en remontant la trace informatique d’un ordinateur utilisé dans des activités criminelles, à un moment donné, son utilisateur pourra également être identifié.

Après l’identification des abonnés au mobile, le gouvernement burkinabè s’intéresse désormais aux utilisateurs de cybercafés. Un décret portant modalités d’identification des abonnés des services de communications électroniques et des clients des cybercafés, a été adopté à cet effet. C’était lors du Conseil des ministres du 8 juin 2018.

A travers cette mesure réglementaire, le gouvernement burkinabé entend améliorer sa lutte contre l’insécurité sur les réseaux électroniques. La base de données des usagers qui devrait découler de cette identification, permettra aux structures et autorités compétentes, de mettre tout contrevenant à la loi face à ses responsabilités.

Dans plusieurs pays d’Afrique, les cybercafés échappent encore à l’identification de leurs clients. Conséquence, ces centres multimédia privés servent parfois de base d’opération à des cybercriminels. Via les équipements de ces structures, ils se savent protégés puisque l’adresse IP de l’ordinateur utilisé ne permettra pas de remonter jusqu’à eux. Avec l’identification, les cybercafés devront enregistrer l’identité de toute personne qui utilise leurs équipements. Ainsi, en remontant la trace informatique d’un ordinateur utilisé dans des activités criminelles, à un moment donné, son utilisateur pourra également être identifié.

En Afrique de l’Ouest, la Côte d’Ivoire est l’un des rares pays à avoir adopté cette mesure pour contrôler l’accès à Internet via des équipements tiers. Depuis 2011, les cybercafés doivent tenir un registre dans lequel ils consignent les noms et prénoms des utilisateurs, la nature de la pièce d’identité présentée, son numéro et sa date d’expiration, le dispositif d’accès ou le terminal électronique utilisé, la date de connexion, l’heure de début et de fin de la connexion.

Daouda Bakary KONE

Mail: croissanceafrik@gmail.com

La banque de demain sera une plate-forme

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Au premier abord, la création d’une nouvelle activité de détail reposant sur un modèle traditionnel de prêts personnels adossés à des comptes d’épargne ne pouvait tomber en pire période que celle choisie par Goldman Sachs (en 2016, donc), alors que les taux d’intérêt extrêmement bas érodaient impitoyablement les marges dans tout le secteur. Cependant, deux ans plus tard, l’éclairage apporté lors d’une conférence laisse entrevoir une vision à long terme beaucoup plus ambitieuse et prometteuse. Dans la courte partie de l’intervention qui était consacrée à Marcus (dont le support est reproduit ci-dessous)

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Mali: Présidentielle 2018, le candidat de ADP-Maliba, M. Aliou Boubacar Diallo annonce 15 mille milliards de FCFA, pour des grands travaux d’investissements et de réformes institutionnelles dans les secteurs économico-sociaux-culturels au cours de 5ans.

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Ce dimanche 17 Juin 2018 , la plate forme d’Ensemble pour le Renouveau (ERE-Mali) a procédé à la cérémonie de signature de la convention de soutien à la candidature de Aliou Diallo à la présidence de la République du Mali.

Tout d’abord le candidat du parti ADP Maliba n’est pas avec le dos de la cuillère, puis qu’il directement mis l’accent sur les investissements dans plusieurs secteurs au Mali. Pour qui connaît le parcours de l’homme, il faut déjà dire qu’il pourra relevé défis par rapport à plusieurs autres candidats.

Il s’agit bel et bien du président directeur général de la mine de kodieran dans la région de Bougouni et plus précisément dans le wasoulou profond. Déjà dans la zone, l’homme, le plus charismatique opérateur économique a depuis 20 ans contribué dans la diminution du chômage. Puisqu’il s’agit d’un recrutement inimaginable dans la mine de kondieran (wasoul’or).

Ce n’est pas tout, des témoins et des proches de l’homme ont affirmé que l’homme aurait fait des investissements de plus 250 milliards de fcfa. D’ailleurs sa société est reconnue comme la seule qui produit d’électricité à vocation d’hydrocarbures sans gaz à effet de serre. Il est le promoteur de la société PETROMA (SA) au Mali avec à son compte une fondation dénommée ADP-Maliba.

En 2013 son parti politique n’avait que 215 conseils communaux et aujourd’hui, le parti détient 780 conseils communaux avec son compte 10 députés dont 4 députés étaient déjà là en 2013. Déjà une victoire fleuve à travers les adhésions massives. Et au jours d’aujourd’hui, le parti de Aliou Boubacar Diallo a son compte 10 maires.

Selon lui, que je cite « j’ai investi plus de 250 milliards de francs cfa au Mali en tant que entrepreneur donc une foi élu président de la République, je serais candidat des Maliens, je serais candidat du renouveau, je serais candidat pour la restauration de la paix et de sécurité sur toute l’ettendue du territoire national de la République du Mali « , a t-il affirmé.

Pour lui, il mettra l’accent sur les secteurs de bases à savoir : La santé, l’éducation, sécurité, l’électricité, la paix, défense, cohésion sociale, l’entraide, sans doute, il affiche l’idée de créer une nouvelle classemoyenne au Mali à travers la création de plusieurs jeunes entreprises au Mali », dit il.

Aliou Boubacar Diallo annonce qu’au cours de sons quinquennat,que « 15 mille milliards sera injecté dans les grands travaux d’investissements dans des secteurs de : santé, l’éducation, sécurité, infrastructures, culture, économie et emplois des jeunes pour absorber le chômage au Mali. Pour lui, 1000 milliards sera consacré particulièrement sur le chantier du nord du Mali, cela contribuera à la création d’emplois de jeunes d’ici horizon 2023.

Avant de conclure cette paragraphe il annonce que 20 millions nouvelles entreprises seront créées et précise que ces entreprises ne seront pas créées pour pour ma famille d’abord.

Concernant la lutte contre la corruption, il affirme que la corruption sera disparu à 60 pourcent, selon ce qu’à affirmé un proche de l’homme d’affaire. Puisque Aliou Boubacar Diallo annoncera dans sont discours « qu’aucun pays ne peut se développer dans la corruption  » annonce t-il.

Sans tardé, le milliardaire na pas hésité une seule seconde afin de dénoncer la corruption qui gangrène sous le régime IBK, car selon lui, le régime de Ibrahim Boubacar Keita a coûté 350 milliards en marge de 5ans .

Pour les grands travaux d’investissements qui seront consacrés sur les infrastructures, il Aliou Boubacar Diallo annonce 2000 mille milliards sans oublié la diaspora, l’homme d’affaire affirme qu’il faut un programme spécial pour le retour de la diaspora Malienne.

Daouda Bakary KONE, journaliste économique, fondateur et directeur de la publication du magazine d’information économique croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Mali: retrait de la candidature de Moussa Mara , Bilaly Dicko un start up Malien « On ne peut pas s’allier à Soumaila Cissé ou IBK en 2018 et prétendre diriger le pays dans 5 ans. C’est un suicide politique », dixit.

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Voilà le scénario que je vous propose et ça passera presqu’exactement comme cela.

Si on a assisté à une pluralité de déclarations de candidature, les semaines qui arrivent, la grande majorité des candidats vont se retirer pour soutenir CMD pour 4 raisons :

– Ils n’ont pas suffisamment de fonds pour faire une campagne présidentielle. Le défi, ce n’est pas les 25 millions et les signatures requises. Le défi, c’est d’aller rencontrer les Maliens de Bamako à Kidal et surtout se plier aux dépenses le jour du vote;

– Ils veulent faire partie de la mouvance : Nouveau Mali, sans un passé sombre de politicien. « On ne peut pas s’allier à Soumaila Cissé ou IBK en 2018 et prétendre diriger le pays dans 5 ans.C’est un suicide politique » dixit
– Et parce que l’écrasante majorité des jeunes, intellectuels ou de la Diaspora voteront pour CMD;
– Parce que CMD, c’est comme le Professeur dans la Casa de Papel. Il est clean, crédible et respecté de tous. Les gens lui font naturellement confiance parce qu’il est sans tache.

Notre jeu d’échecs vient de démarrer. Les soldats vont courir de partout.

Bonsoir…

Daouda Bakary KONE
Mail: croissanceafrik@gmail.com

Mali: Le réseau AGA KHAN de développement (AKDN-WEST AFRICA) a procédé à sa traditionnelle cérémonie de rupture collective de jêune à Bamako

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C’est dans la salle de conférence du groupe bancaire coris Bank International Mali que son excellence M. Ferid Nandjee représentant diplomatique du réseau AGA KHAN de développement s’est entretenu avec la presse nationale pour sa traditionnelle cérémonie de rupture collective de jêune. C’était le mercredi 13juin 2018.

Selon le diplomate « la tradition musulmane ,les leaders religieux non seulement interprétent les textes sacrés, mais doivent aussi aider à améliorer la qualité de vie de leur communauté et des sociétés où vivent ses membrs, »dit-il Nandjee. Pour l’Aga Khan, cela se traduit par une consacrée aux difficultés du monde en développement, ajouté t-il encore.

En réalité, pour parler que du Mali, le réseau Aga Khan, développe depuis plusieurs années des activités économiques, sociales, et culturelles au profit de dizaines de milliers de personnes au travers de 4 de ses agences que sont : La fondation Aga Khan, AKF, met en oeuvre des projets de développement social à savoir l’éducation, santé, développement rural, et la société civile notamment dans la région de Mopti. Ce n’est pas tout ,le réseau obtient une agence Aga khan pour la micro-finance, AKAM, dont lesguichets et point de services portent la dénomination « première agence de micro-finance  » ou « PAMF », gère des agences et point de service de micro-finance. Le représentant ajoutera aussi que « comme vous le savez déjà M. Éric MARQUER, le directeur Général de la PAMF et la Directrice générale de l’orange Fiance Mobile Mali vient de procéder à Bamako, il y’a juste quelques heures, au lancement officiel de la cérémonie de l’offre de service de crédit et d’épargne dénommé « singa ni Mara  » de PAMF via Orange Money, a-t-il affirmrmé.

Et pour finir la troisième agence est le trust Aga khan pour la culture, AKTC, qui a restauré notamment le parc national du Mali (botanique et zoologie), les grandes mosquées en architecture en en terre Djéné ,komoguel à Mopti et Djigareyber à Tombouctou, et a créé le centre d’exposition et de formation de l’architecture en terre à Mopti. Il y’a aussi le fond Aga Khan pour le développement économique, qui évolue sous l’égide de sa filiale « industrial promotion service  » « IPS » présent dans l’unité industrielle d’eballages embalmali.

Entre 2005 , date de la création de l’agence Aga khan pour la micro-finance et 2015 à travers ses partenaires(AKDN) ont octroyés 3 millions de prêt, et plus de 2,2 milliard de dollars ont été prêté dans le cadre de ses activités.

Daouda Bakary KONE journaliste économique,est le fondateur et directeur de la publication du magazine de l’économie africaines croissanceafrique.com.

Mail:croissanceafrik@gmail.com

Présidentielle au Mali: Le projet de Soumi Champion pour le Mali se chiffre à 9 000 milliards sur 5 ans

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Soumaila CISSE (URD)
Soumaila Cissé, le chef de file de l’opposition

La technocratie est manifestement la marque distinctive du candidat Soumaila Cissé qui ne compte visiblement pas se limiter aux seules démonstrations de masse. En effet, il nous revient que par-delà les manifestations, le chef de file de l’opposition compte se singulariser comme force de proposition incomparable sur l’arène de la prochaine présidentielle. En attendant la confrontation des programmes, une source proche de son QG révèle que Soumi Champion pourra se targuer d’être le seul candidat à pouvoir proposer aux électeurs maliens un projet de gouvernement chiffré. Étalé sur le quinquennat 2018-2023, ledit programme, selon la même source, va coûter la bagatelle de 9 000 milliards, soit trois fois le produit intérieur brut du Mali. Ce n’est pas tout. Toujours selon notre confidence, le candidat de l’Urd ne tarit pas non plus d’indications sur les sources de financement des ambitions qu’il nourrit pour le Mali.

Les enchères du parrainage au plus haut niveau

Pour avoir droit à prendre part à la présidentielle de 2018, les prétendants ne sont pas seulement confrontés aux contraintes de la caution financière dont la barre a été portée haut dans la nouvelle loi électorale sans décourager les candidats. Ces derniers se battent avec autant d’ardeur sur le terrain des parrainages qui ne courent plus la rue avec le nombre exponentiel de candidats sans formation politique réellement représentées sur la scène politique, ainsi que la réduction de leurs marges de manœuvres aux niveaux des différents viviers parlementaires. Il en résulte une grande ruée vers les élus municipaux dont il faut une demi-douzaine par région administrative pour être éligible au starting-block. Mais là également l’offre ne semble pas suffire et résiste si peu à la forte demande que la mise revient aux candidats les plus solides financièrement. Seulement voilà : il n’est pas exclu qu’en dépit de tout certains soient laissés sur les carreaux au regard d’une grande polémique qui entoure les parrainages par les élus municipaux. Il concerne en effet que ceux dont les conseils ont été remplacés par des autorités intérimaires dans certaines localités du septentrion, en application notamment de l’Accord pour la Paix et du code des Collectivités en vigueur. La question se pose en clair si les élus déchus de leur mandat conserve encore le droit de parrainer des candidats, une équation éprouvante pour la Cour constitutionnelle.

Les non-alignés dénoncent une attribution injuste d’assesseurs à l’opposition et à la majorité

L’avènement d’une troisième voix sur la scène politique, à quelques encablures de la présidentielle, est en passe d’ouvrir une vicieuse brèche pour de nouvelles contestations de la loi électorale modifiée. Il s’agit notamment des signataires de la nouvelle plateforme politique « Les Bâtisseurs», qui ont profité de leur lancement, vendredi après-midi, pour donner de la voix sur ce qu’ils considèrent comme une injustice des dispositions afférentes au scrutin présidentiel : le droit exclusivement réservé à l’opposition et à la majorité de disposer d’assesseur dans chaque bureau de vote. Pour Moussa Sinko, Modibo Sidibé, Me Tall, Housseini Amin Guindo et compagnie, la présidentielle est plus une affaire d’individu intitu-personé que d’obédience partisane. Il n’y avait donc pas lieu d’introduire dans la loi électorale une disposition dont l’application – en plus de prêter à confusion – peut se heurter à un manque d’homogénéité de chaque camp concerné et aux plausibles divergences d’intérêts des différentes composantes en leur sein. En clair, l’opposition et la majorité ne sont guère les seuls protagonistes d’une présidentielle, soutiennent les Bâtisseurs en réclamant que le tort soit réparé. A noter qu’ils avaient toute latitude de poursuivre la loi devant les hautes juridictions compétences, surtout qu’elle instaure un bipartisme de fait à la constitutionnalité discutable. Elle fausse les principes du multipartisme intégral prôné par la loi fondamentale

En cas de carence d’assesseurs, place au droit à la suppléance de l’Etat

C’est Mohamed Ag Erlaf, ministre de l’Administration Territoriale et des Collectivités Locales qui l’a tranché, jeudi, lors de sa rencontre avec les organisations de la société civile. Tout en présentant comme une avancée la modification de la loi relative aux assesseurs de l’opposition et de la majorité. En réponse aux inquiétudes soulevées par ses interlocuteurs quant à l’éventualité d’une carence d’assesseur pour l’un ou l’autre des deux principaux protagonistes, le ministre a été catégorique : l’administration jouira aussitôt de son droit à la suppléance. Ce schéma, selon toute évidence, ne figure nulle part dans les dispositions de la loi, mais il s’agit d’un principe administratif ancré. Il n’en demeure pas qu’il pourrait engendrer des motifs de contestation des nombreux les bulletins de vote dépourvus de la signature d’assesseurs comme l’exige la loi. Pour ce qui est des difficultés pour les camps respectifs à s’accorder sur les assesseurs devant les représenter, le ministre aime rappeler que c’est le même principe qui a prévalu à l’installation de la CENI.
La Rédaction

Mali: Prix des boeufs sur le marché : Quand le gouvernement ne maîtrise pas Bamako

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Aussi, si ce même gouvernement se permet de se prononcer sur les prix de quelques lieux sur des milliers de marchés à l’intérieur du pays, c’est communiquer dans le vite.

En effet, Les prix de la vache sont dans l’impasse. Cela dit qu’ils commencent à 200.000 FCFA à Bamako, contrairement à ceux annoncés par le gouvernement dans la capitale c’est à dire à compter 150.000. Pour cela, rien ne garantit que ces mêmes problèmes ne se répètent pas dans les régions.

Par conséquent M. le Président de la République, M. le PM, Mme le ministre, le peuple fête dans la galère.

Je passais…

Rédaction

COMMUNIQUÉ DE L’INPS MAILI

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La Direction Général de l’INPS informe tous les retraités et bénéficiaires de pensions payés par chèque à la direction Générale, (Siège) qu’ils peuvent retirer désormais leurs chèques dans la caisse INPS de leur commune de résidence à compter des paiements  anticipés de ce mois de juin 2018.

La Direction Générale sait compter sur la bonne compréhension de tous les retraités et tous les bénéficiaires de pension pour l’observation de cette mesure.Bamako, le 5 juin 2018

   Le Directeur Général Adjoint

    M. SEYDOU SIAKA DIARRA