Nous décidons aujourd’hui de rendre plus lisible et visible, notre attitude vis à vis de la Nation Malienne et de Son Président Démocratiquement élu.
Et cela pour aider tous ceux qui s’interrogent sur notre conduite.
D’abord il convient de noter que nous sommes une Agence de Communication à dimension internationale, dont la Mission est de promouvoir les richesses, les compétences, les valeurs, les potentiels et autres atouts du Continent Africain.
Pour nous, le constat du retard de l’Afrique, trouve trouve aussi ses raisons, dans le manque la vraie Communication en faveur de l’Afrique.
Cette Communication doit être celle qui présente l’Afrique sur tous ses aspects positifs et qui dénonce tout ce qui constitue et pourrait constituer, un frein à son développement.
Dans cette logique, les crises, les conflits, les rébellions,et les guerres, sont à notre avis, de véritables freins au développement de l’Afrique.
Nous n’hésitons donc pas à les condamner et à les dénoncer.
C’est ainsi que le cas du Mali, nous préoccupe depuis 2012 où les rebelles lourdement armés par la France, alors dirigé par Nicolas Sarkozy, y sont arrivés.
Pour nous, le Mali ne mérite pas ce que la France lui a fait.
La guerre en Libye, a servi de prétexte à la France pour venir diviser le Mali en deux Etats: l’Etat de l’AZAWAD et l’ETAT du Mali.
Et depuis que la France a introduit les mouvements rebelles lourdement armés au Mali, elle a des positions ambiguës sur la question de la résolution de la crise.
La France ne veut pas du désarmement des mouvements rebelles. Mais elle veut plutôt, maintenir la pression sur le Pouvoir Central de Bamako et l’obliger à satisfaire à toutes les exigences des rebelles, à défaut que ces derniers aient leur Etat indépendant.
Dans un tel schéma, la France n’est pas prête à soutenir tout président malien qui refuserait de composer, ni d’écouter les Mouvements rebelles.
C’est pour cette raison, que très tôt, elle a décidé de combattre le Président Malien, Ibrahim Boubacar KEITA, en le qualifiant de responsable du blocage du processus.
Ce n’est pas par hasard que le ministre français Jean Yves Le DRIAN n’a aucun respect à l’égard des Autorités Maliennes. Dans tous ses discours, ce sont la haine et le mépris d’IBK qui y ressortent.
Que dire des médias occidentaux qui font le lynchage médiatique d’IBK ?
La Communauté internationale, manipulée par la France sur la question de la rébellion malienne, ne voit que le Pouvoir Central de Bamako dans ses rapports !
C’est toujours Bamako qui a tort et accusé. Mais pas les mouvements rebelles qui ont coupé les mains et pieds des maliens. Eux qui ont détruit tout le nord, en tuant, massacrant des populations.
Face à cette méchanceté et hypocrisie dont le Mali est victime, nous avons décidé de soutenir le Mali, en dénonçant ce complot international. Et soutenir le Président démocratiquement en 2013 et encore réélu.
Voilà donc ce qui explique notre attitude.
Nous ne faisons pas de la Politique Politicienne au Mali. Nous ne sommes d’aucun Parti Politique Malien.
Et nous ne le ferons jamais.
Mais nous soutiendrons le Mali et son Président dans cette vision de la valorisation de l’Afrique.
Merci donc à tous et à toutes pour votre attention !
Pour le Groupe AFRICA LEADERS
Le Directeur Général
MONOKO N. TOALY
Expert International en Communication.
Daouda Bakary KONE