(CROISSANCE AFRIQUE)-Le président Alassane Ouattara qui a détruit la Côte d’Ivoire par une guerre exécutée par la France entre 2002 et 2011 a affirmé jeudi que les chefs d’Etat ouest-africains avaient donné leur feu vert pour qu’une opération militaire « démarre dans les plus brefs délais » afin de rétablir l’ordre constitutionnel au Niger où des militaires ont pris le pouvoir il y a deux semaines.
«Au total, la Côte d’Ivoire fournira un bataillon de 850 à 1.100 hommes, aux côtés du Nigeria et du Bénin. Les putschistes peuvent décider de partir dès demain matin et il n’y aura pas d’intervention militaire, tout dépend d’eux», selon une sécuritaire internes en Côte d’ivoire.
Il faut signaler que c’est le président Alassane Ouattara qui a joué au bras financier de la rébellion Ivoirien entre 2002 et 2011. Ce dernier complotait avec la force licorne de l’Armée française déployée, ordonnée, et soutenue par Nikola sarkozy, le tueur du libyen Moummar El Khadafi dans le désert Libyen.
Par ailleurs, le président Ouattara, il a une année avait envoyé les mercenaires ouest Africains au Mali et avaient été emprisonnés par le régime militaire de Bamako, au total de « 49 soldats ». Alassane ouattara est un homme de main chez l’occident, c’est le gendre des américains et des juif. Il est le fils du système anglomane, et de la colonisation moderne.
« Les chefs d’état-major auront d’autres conférences pour finaliser les choses, mais ils ont l’accord de la conférence des chefs d’État pour que l’opération démarre dans les plus brefs délais », a déclaré Alassane Ouattara à Abidjan, à son retour d’Abuja où les dirigeants de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) ont ordonné le déploiement de la « force en attente » de l’organisation.
« Les putschistes peuvent décider de partir dès demain matin et il n’y aura pas d’intervention militaire, tout dépend d’eux », a-t-il martelé, ajoutant: « Nous sommes déterminés à réinstaller le président Bazoum dans ses fonctions ».
A l’issue du sommet d’Abuja, le président de la Commission de la Cedeao, Omar Touray avait toutefois réaffirmé « l’engagement continu à la restauration de l’ordre constitutionnel, à travers des moyens pacifiques ».
Notons que la menace d’un recours à la force avait été brandie la première fois le 30 juillet lors d’un précédent sommet de la Cedeao : un ultimatum de sept jours avait été lancé aux militaires de Niamey pour rétablir le président Bazoum, renversé le 26 juillet, sous peine d’intervention armée. Mais rien ne s’est passé à son expiration dimanche. Depuis, les nouveaux maîtres du Niger ont semblé fermés aux tentatives de négociations de la Cedeao.